Après seulement deux jours à Los Angeles, je m’envolais pour Honolulu. Au pays de Magnum et d’Hawai Police d’état, il fait presque toujours beau. Alors sortez votre chemise à fleurs, votre surf et cliquez sur « lire la suite »!
Honolulu, capitale de l’état d’Hawai, possède un peu moins d’un million d’habitants (en comptant les banlieues)… Soit la moitié de la population totale de l’archipel. En moins d’une heure de route, on peut traverser l’ile d’Oahu de part en part.
Autant dire que l’ambiance est davantage celle d’une grande ville provinciale. Les seuls excités sont les militaires stationnés sur la base de Pearl Harbor.
Compte tenu de la taille de l’ile, pas besoin de gros semi-remorque. Le réseau routier est presque surdimensionné pour l’ile avec de larges autoroutes et routes nationales, à l’asphalte lisse comme un billard. Donc, le 4×4 n’est pas du tout obligatoire.
Contrairement à Los Angeles, Honolulu n’a pas vraiment de « culture automobile ». Depuis deux siècles, des émigrants venus d’Asie y ont débarqué, devenant le premier groupe ethnique de l’ile. D’où une forte proportion de Honda Civic et plus généralement, de berlines japonaises. Et souvent avec un surf sur la galerie.
Hawaï vise avant tout les touristes haut de gammes. Beaucoup louent des cabriolets, pensant pouvoir frimer avec. Dans la cité balnéaire de Waikiki, on voit ainsi des Mustang et des Camaro de location, faisant des allers-retours sur l’avenue principale.
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