Suzuki Jimny, il est petit et il est toujours vivant

2018 devrait finalement rester comme une grande année dans le milieu du 4×4. Car même si le Defender manque toujours à l’appel, trois autres icônes de ce marché ont été renouvelées cette année : Wrangler, Classe-G (gros remaniement plus que toute nouvelle génération certes) et donc le plus petit d’entre eux, le Suzuki Jimny.

La nouvelle génération conserve son format de 4×4 de poche, et pour cause, il reste classé en tant que Kei au Japon, avec donc 3m40 de longueur maximale. La version destinée à l’export, dotée de pare-chocs plus imposants, de voies plus larges, d’élargisseurs d’ailes et de la roue de secours arrière est néanmoins également proposée au Japon, sous le nom de Jimny Sierra.

Toujours basé sur un châssis séparé, comme un vrai dur, il est donc toujours taillé pour le franchissement. Et son style ne fait pas dans le crossover urbain chic et branché. Toujours taillé tout en angles, son style rend hommage à la première génération, le fameux LJ10, mais aussi à la seconde plus connue sous nos latitudes en tant que Suzuki ou Santana Samurai. Concession à la modernité, il propose un peu de personnalisation, par exemple avec le toit ou le capot noirs. Il perd en revanche sa version découvrable.

La modernité est un peu plus perceptible à bord, et à la lecture de la liste es équipements : écran tactile avec navigation, climatisation régulée, régulateur de vitesse, détection d’obstacle et freinage d’urgence (AEB)

Si le châssis a été conservé, la transmission intégrale l’est également, avec la gamme courte qui convient pour en tel engin prêt à « grimper aux arbres ». Au Japon, où il est disponible en 2 roues motrices (arrière), le Jimny propose un 3 cylindres 660 cm3 turbo de 64 ch, catégorie Kei oblige. Sa version Sierra se dote d’un 4 cylindres 1.5. A l’export, le Jimny devrait proposer au choix un 4 cylindres 1.2 atmosphérique DualJet (90 ch dans la Swift), ou un 3 cylindres 1.0 Turbo BoosterJet (111 ch dans la Swift). Dans un cas comme dans l’autre, la version hybride SHVS n’a pas été confirmée.

(15 commentaires)

    1. Et les cash-tests! On en a eu un de l’actuelle/ancienne génération pendant 5ans il passait partout! (vraiment partout…). Fatigant en usage routier car trop rustique mais j’ai vraiment gardé un super souvenir de cette voiture

  1. J’en ai conduit un en Crète (voiture de loc) – Génial ! passe partout, agréable à conduire (enfin, sur petites routes, et pas trop en cotes sur voies rapides) . Pour les passagers arrière, c’était un peu moins sympa !

  2. Une bonne nouvelle pour les montagnards, tant l’actuelle génération était littéralement tuée par un malus désormais compté au gramme et qui chiffrait à plus de 4000€. Un véritable scandale, surtout quand on voit des Cayenne hybrides y échapper ce qui est amha hautement suspect.

      1. Le Jimny fait partie des tous meilleurs franchisseurs dans le monde très fermé des 4×4. On peut le comparer à un Class G, un Wrangler Rubicon, un Defender, un Land Cruiser Serie 70, un Discovery ou un Pajero mais on ne peut pas Le comparer à un Duster. On ne compare pas un Jack Russell à un Chihuahua!

  3. salut à toi mais si tu n’as jamais conduit de jimny tu peux pas comparer.j’en ai eu un 1.5 dci j’ai fait la connerie de le vendre dès qu’il est dispo en europe je le commande.hollande ou belgique (LUXEMBOURG).bonne route papy panpan.

  4. Votre modèle « Jimmy » 2018 m’intéresse … MAIS :

    modèle 1.5 avec une hybridation de 1 à 10 kw…car les swift et ignis ont une batterie hybride correspondant à un vélo électrique …ce qui est lamentable avec votre connaissance et les aboutissements actuels…

    ce serait un moyen d’attirer une clientèle qui recherche ce type de véhicule même en ville !

    Cordialement

    AC

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