La WRX ainsi équipée est difficile à distinguer d’une STI. Elle reçoit d’ailleurs un certain nombre d’éléments de la division performance de la marque, en particulier l’aileron arrière, un splitter et des roues de 17 pouces noires, en plus de la couleur spécifique à cette édition (qui est également disponible en noir).
A l’intérieur la voiture dispose de sièges en cuir avec coutures orange ou rouge (pour complémenter la carrosserie noire) et un levier de vitesses court. La voiture n’est disponible qu’en boîte manuelle et en carrosserie trois volumes. Limitée à 300 exemplaires, elle est affichée à 41 490 dollars australiens (34 500 euros), quand une STI est au-delà de 65 000 dollars australiens.
Avec 265 chevaux la WRX est loin d’être anémique, et même si elle n’embarque pas tout l’arsenal magique de la STI dans ses différentiels elle reste très compétente, surtout si l’on considère la différence de tarif. Heureux les Australiens qui comme les Américains ont ce choix, contrairement aux Européens et même aux Japonais qui n’ont pas la WRX widebody à leur catalogue.
Source : Subaru Australie
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