Seat Leon « Custom colours »

Dévoilée officiellement il y a quelques semaines durant le salon de Londres, la nouvelle palette de couleurs proposée par le constructeur ibérique pour la Seat Leon est désormais disponible commercialement de l’autre côté de la Manche. De quoi s’échapper des traditionnels coloris blanc, noir ou gris.

Leon et Ibiza même combat ! Les deux modèles la firme espagnole s’encanaillent visuellement à travers une nouvelle palette de coloris carrosserie. La Leon pourra ainsi se décliner à travers de nouvelles tonalités : Lumina orange, Speed blue, Kiwi green et Furia Grey (soit vous l’aurez compris des couleurs particulières orange, bleue, verte et grise). En option également des jantes noires exclusives de 18 pouces au menu. Le choix de cette peinture moins standardisée en coûtera à l’acheteur britannique 550£ soit environ 685 euros.

A lire également. Seat Leon Linea R et La Seat Leon Cupra en compagnie de deux tchèques par farouches.

Source : Seat UK.

(7 commentaires)

  1. Le seul américain vainqueur du championnat de F1 pour la Scuderia s’est éteint .Respect.
    Dure semaine pour le sport automobile !

  2. Dans mon souvenir, les relations entre Phil Hill et la Scudéria étaient loin, mais très loin d’être au beau fixe.

    Je retiendrais surtout ses formidables victoires avec les Chaparral aux 1000 km du Nürburgring 65, au Monterrey Grand Prix (can-Am 1966) et au BOAC 500 1967. Plus personne ne s’imposera jamais au volant d’un oiseau blanc alors que les Ferrari pullullent…

  3. Je suis curieux d’en apprendre d’avantage sur les raisons pour lesquels Phil Hill et Olivier Gendebien (mon parrain) se détestait.
    Je manque de connaissance le concernant, alors pourquoi pas un jour un « papier » sur Olivier Gendebien !!

    Merci.

  4. Je n’ai pas d’infos là-dessus. Apparemment, Hill avait « ses têtes » et Gendebien aussi. Hill adorait Fangio, Hawthorn, Graham Hill, Ginther et Gurney (à ces deux derniers, il a quasiment organisé des stages pour devenir pilote de F1, façon Senna.) Par contre, il n’aimait pas Gendebien.

  5. Un grand monsieur de l’histoire du sport auto et de la Scuderia disparait. Respect.
    Contrairement à un certain nombre de pilotes modernes, lui voyait ça comme un sport et un moyen de se dépasser, pas juste comme un business… Et contrairement à ce qu’a pu dire Enzo Ferrari (qui avait ses têtes…)à postériori, il a gagné sur tous les types de circuits, et jusqu’à preuve du contraire ils sont très peu à avoir gagné 3 fois Le Mans et à avoir été champion du monde de F1.

    Par contre je ne sais pas qui a pu dire que lui et Gendebien se détestaient, au contraire: quand tu lis les mémoires de Gendebien et la biographie de Hill, l’un et l’autre disaient qu’ils s’appréciaient et avaient des goûts en commun.
    Et ils auraient sûrement moins couru ensemble (Le Mans, Sebring…) si ils ne s’appréciaient pas. Il ne manquait pas de pilotes avec qui ils auraient pu courir et avec qui ils étaient aussi amis (L. Bianchi, P. Frère, R. Ginther pour n’en citer que quelques uns…).

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