Si évidemment, l’archi connue Jamais Contente était du rendez-vous, d’autres modèles plus rarement visibles étaient plus dignes d’intérêt. C’est notamment le cas de la Stela électrique de 1941 (photo de tête), berline quatre place mue par une ensemble de batteries placées dans sa partie arrière.
Peugeot fut un des rares grands constructeurs à développer un modèle particulier sous l’Occupation, avec la minuscule électrique VLV, qui serait actuellement une excellente candidate à l’Autolib.
Une autre solution en période de restriction fut bien évidemment le gazogène, avec cette imposante Peugeot 402.
Quant à la Voiture Electronique, commandée par un joystic est d’un esprit bien plus seventies. Sa devise ? « Le plastique, c’est fantastique ! »
Enfin, le concept Citroën Citela de 1992 montre que les constructeurs français se sont intéressés tôt à ce mode de déplacement urbain (la Peugeot Tulip et les Ampératrices Renault en sont d’autres exemples). Il est simplement regrettable que les recherches aient pris du retard voire aient été abandonnées. D’autant qu’avec le recule, cette Citela est loin d’être laide…