L’information vient directement de Iouri Ouchakov, chef de cabinet adjoint du Premier Ministre russe Vladimir Poutine.
« Un accord sur les conditions de la restructuration sera signé par Russian Technologies, AvtoVAZ, Troika, Renault », a-t-il dit à des journalistes. « Ce document est le résultat de plusieurs mois de travail. »
Côté Français, la signature sera celle de Christian Estève, président du Groupe pour l’Eurasie.
Dans cet accord, Renault ne devrait pas accroître sa participation. En revanche, Renault devrait assurer des apports de technologie, d’équipements, de savoir faire et de plateformes, mais exclu jusqu’ici tout nouvel apport de cash et toute modification de sa participation.