En manque de chaines de montage, Nissan a trouvé l’idée géniale. Elle profite des installations de Renault Samsung Motors, détenu à 80% par son partenaire Renault, et surtout des accords de libre échange qui existent entre la Corée du Sud et l’Union Européenne.
Alors que la marque est aujourd’hui ralentie par le taux de change du yen, Nissan va profiter de cette installation en Corée du Sud pour soigner ses marges.
Nissan avait déjà travaillé avec Renault Samsung en achetant une partie de production pour la rebadger et la commercialiser au Moyen-Orient et en Afrique.
L’annonce sera faite ce vendredi à l’occasion d’une visite de Carlos Ghosn en Corée du Sud.
Et aussi : Renault continue son offensive électrique avec la SM3 Z.E.
Source : Reuters