Renault partenaire de start-up en Corée du Sud pour travailler sur la mobilité

Les menaces de Donald Trump à l’encontre de la Corée du Nord ne semblent pas inquiéter plus que cela Renault. Le constructeur vient en effet de signer un partenariat avec une association de la Corée – certes du Sud – mais néanmoins proche de la « cible » du milliardaire président. Objectif : collaborer avec des start-up du secteur de la mobilité afin de concevoir les véhicules de nouvelle génération. Information communiquée lundi par Renault Samsung Motors Corp.

Le constructeur a ainsi a signé un protocole d’entente avec K-ICT Born2Global Centre, organisation dépendante du ministère de la Science et des TIC dont la mission est soutenir les start-up. Cet accord permettra d’établir un bureau « open innovation » en Corée du Sud en novembre prochain.

Le choix de la Corée du Sud pour tester de nouvelles technologies avant lancement sur le marché international est motivé selon Renault par le fait que le pays enregistre un fort volume de ventes dans son secteur automobile par rapport à sa population et « des technologies et un environnement de l’information avancés ».

Selon un des cadres de l’entreprise s’exprimant à ce sujet, le protocole d’entente offrira à Renault l’opportunité de découvrir des entreprises prometteuses avec qui travailler, tout en les soutenant pour qu’elles puissent accéder au marché étranger.

Le communiqué rappelle par ailleurs que le groupe a ouvert des bureaux «open innovation» dans la Silicon Valley, à Paris et à Tel Aviv. L’Open Innovation Lab israélien a été installé au cœur de la Porter School of Environmental Studies, célèbre University de technologie de Tel-Aviv. Son ambition est de promouvoir le véhicule électrique et de favoriser la créativité autour de la mobilité de demain.

Sources : Renault, Yonhap

Crédit Photo : Renault

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