Rallye de Paris: Une Histoire de 40…

40… Mais de quel « 40 » parle-t-on? Parce que 40 ne sonne pas pareil suivant de quel côté de l’Atlantique on se trouve. Du point de vue de l’oncle Sam, 40 + Automobile = Ford GT40. Son passé en endurance pendant les sixties a suffit à faire son histoire, en plus de sa plastique si particulière. L’un de ses partenaires phares de cette belle époque – Gulf – est associé depuis à cette voiture mythique (mais aussi à la Porsche 917). Avec le lancement de la Ford GT au début des années 2000, la marque n’a pu s’empêcher de se remémorer le passé en proposant une série très limitée, aux couleurs du pétrolier. Chaque heureux propriétaire a pu choisir son numéro « de dossard », et le client allemand présent au Rallye de Paris a choisi le numéro 6. Même si elle aurait eu encore plus d’allure au fond d’un garage de la Sarthe, le paddock de Magny-Cours lui allait aussi bien. Attention les yeux… Mais « 40 » du côté du vieux continent se réfère à l’une des nombreuses légendes de Maranello.

Comme bon nombre de jeunes garçons, j’ai eu moi aussi mon poster géant de la Ferrari F40 sur l’un des murs de ma chambre. Aussi, à chaque rencontre, c’est un peu le choc émotionnel. Considéré par bien des observateurs comme la plus belle Ferrari de tous les temps, elle marqua presque la fin de l’ère du Commendatore qui s’en alla environ un an après le premier exemplaire livré. 400 étaient prévus, mais ce sont finalement 1 311 qui sortiront de l’usine. 1 100 kg, V8 suralimenté par deux gros méchants turbocompresseurs pour doper les chevaux cabrés… Elle fait toujours rêver.

Plus de photos des deux beautés en page 2!

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