Le constructeur automobile veut aussi supprimer en France 2.100 emplois dans ses activités de production et 1.000 postes dans les fonctions support. Ces suppressions d’emplois doivent être réalisées via des mesures de reconversion, de mobilité interne et des départs volontaires.
La direction précisait mardi au CCSE son plan d’économies de deux milliards d’euros sur trois ans, dévoilé fin mai, qui prévoit au total 15.000 suppressions d’emplois dans le monde.
Actuellement, le groupe Renault compte 48.000 salariés en France, dont 17.300 à la production, 8.900 dans l’ingénierie et 6.600 dans les fonctions support. Le reste des emplois est distribué au sein de filiales, notamment le réseau commercial (Renault Retail Group, RRG) et l’activité bancaire RCI Bank.
Avant l’ouverture du CCSE, la CFDT Renault (2e syndicat du groupe) avait dénoncé « un plan de réduction programmée de la production française ». Elle avait dit soutenir « dès aujourd’hui toutes les démarches d’expertises, qui seront nécessaires sur tous les sites concernés par ce dossier, c’est-à-dire tous les sites de Renault et ses filiales ».
Par AFP
Illustration : Renault
CA sent le sapin, ….. ouais je radote un peu