Le Ministère des transportsDépartement des transports (DfT) et le Bureau des véhicules à très faibles émissions déclarent que la consultation publique « cherchera à savoir si les plaques vertes pourraient fonctionner au Royaume-Uni et, si oui, à quoi elles devraient ressembler ». Ces plaques pourraient arriver dans les prochaines années.
Le gouvernement britannique donne peu d’informations sur les véhicules concernés, mais l’implication du Bureau des véhicules à très faibles émissions suggère que seuls les véhicules émettant moins de 75 g de CO2/km seraient concernés par une telle mesure.
Seuls les électriques et hybrides rechargeables seraient alors éligibles pour recevoir ces plaques qui permettraient d’un accès à tarif réduit voire gratuit aux zones de circulation à faibles émissions polluantes actuelles ou futures.
Des politiques similaires existent déjà en Norvège, en Chine et au Canada. Les plaques d’immatriculation des véhicules norvégiens à carburant alternatif (AFV) sont précédées des lettres « EL », « EK », « GA » ou « HY », indiquant si elles sont alimentées électriquement ou fonctionnant au gaz de pétrole liquéfié ou hydrogène. Certaines villes chinoises, quant à elles, émettent des plaques vertes pour les véhicules électriques.
« faibles émissions polluantes » et « seuls les véhicules émettant moins de 75 g de CO2/km seraient concernés par une telle mesure. » donc classement basé sur le seul CO2 et en roulant uniquement.
Et la vraie pollution et les émissions de CO2 totale ?
En France une telle consultation ferait ressortir les incohérences.
avec une électricité largement débarbonnée comme en France, au contraire ce serait d’autant plus adéquat
Moui. On se souvient aussi que le péage de Londres a abaissé en 2013 le seuil d’exonération pour les véhicules moins polluants dès que les recettes ont commencé à fléchir.