6 ans après la première CTS (et 1 an après la seconde), Cadillac s’est dit: « Et si on en faisait une version break… Comme le font tous nos concurrents. » En même temps, la marque n’a pas une grande culture du break (la BLS break a été lancée en 2007.) Cible visée par la CTS Sport Wagon: les jeunes et les Européens. D’où des débuts officiels au concours d’élégance de Pebble Beach, un lieu à la fois chic et « Européen ».
Comme son nom l’indique, la Sport Wagon privilégie le dynamisme à l’espace de chargement. Elle possède le même empattement que la berline et sa longueur est plus courte de 7mm. L’aileron arrière et les jantes de 19 pouces (en option; 17 pouces de série) accentue le dynamisme. Elle offre par ailleurs des barres de toit et un toit ouvrant panoramique.
Sous le capot, un V6 3,6l 304ch à injection directe ou un V6 3,6l 263ch à distribution variable. Pour l’Europe, elle a également droit à un V6 turbo-diesel 2,9l 250ch. Le tout accouplé à une boite manuelle Aisin 6 vitesses ou à l’Hydra-Matic 6L50 6 vitesses. La transmission intégrale est disponible en option. Signe des temps, à chaque ligne du paragraphe « caractéristiques » du communiqué de presse, on trouve les mots « économie d’essence » et « [meilleur] rendement ». A part ça, elle est évidemment équipée de l’ABS et du contrôle de traction.
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