Paris 2018 : Toyota Corolla Touring Sports

Grâce à sa version hybride, la Toyota Auris a réussi à maintenir un bon niveau de ventes en Europe tout au long de sa seconde génération. Mais le nom de Corolla reste malgré tout présent dans l’image de la marque, et après un peu plus de dix ans d’Auris, Toyota a donc choisi de revenir à ce nom. Ce qui ne change rien à la présence du break. Depuis son arrivée avec la seconde génération d’Auris, cette carrosserie a en effet représenté un bon tiers des ventes. Difficile de s’en passer, en particulier sur le marché allemand.

Comme sa devancière, la carrosserie break adoptera l’appellation de Touring Sports. Un nom qui sera justifié avec un arrière d’aspect plus musclé, avec un hayon plus incliné, un montant D plus prononcé et une ligne de caisse inclinée au niveau de la troisième glace latérale. Le break profite d’un empattement allongé à 2700 mm, soit 600 mm de plus que la berline. Le coffre est annoncé à 598 litres (mesure VDA).

La Toyota Corolla Touring Sports reprendra les mécaniques de la berline. Soit donc un seule moteur essence non hybridé, le 1.2 Turbo de 116 ch, et deux versions hybrides. Le cœur des ventes sera représenté par le 1.8, qui associé à un moteur électrique est annoncé à 122 ch. Mais Toyota propose aussi un ensemble hybride doté d’un 2.0 et affichant 180 ch (cumul des deux moteurs, essence + électrique, toujours). La Toyota Corolla amorce ainsi la stratégie de double motorisation hybride, qui sera étendue à d’autres modèles.  Dont bien entendu le nouveau Rav4 attendu en Europe en début d’année prochaine.

(14 commentaires)

  1. Cette version haut de gamme est canon, mais je vois deux défauts:
    – Pneu pas assez épais, ce qui dégrade le confort car on ressent toutes les imperfections de la route (comme la version actuelle en 17 pouces)
    – Disparition du joystick, remplacé par « un levier de vitesse » plus classique.
    Le joystick est bien plus pratique et souple pour activer rapidement le frein moteur électrique

    1. Pour le 17″ c’est surement une option, vous pourrez garder du 15″. J’ai du 18″ et ça va me va très bien. Pour le joystick, je vous fait confiance ;-). Belle voiture avec un moteur qui s’annonce peut-être sympa, à tester.

    2. De nos jours, les voitures ont le régulateur de vitesse adaptative en fonction de la circulation (et de la voiture de devant), ont le détecteur d’obstacle, freinage d’urgence automatique, a une capacité d’apprentissage (se souvient la manière dont la voiture est souvent sollicité, conducteur sportif ou style coulé), détecteur de pluie, ABS et controle de motricité (donc connait le niveau d’adhérence de la route), allumage automatique des phares (donc la nuit, donc visibilité réduite, donc prudence et préférer plutôt ralentir), etc…

      Bref, bien avant que le conducteur ne puisse atteindre le joystick ou le levier de vitesse, la voiture saura déjà s’il faut adopter le mode coasting (« roue libre ») ou commencer à freiner, ou quand il faudra freiner, etc….

      1. Wizz
        Je suis encore jeune (trentenaire) et non utilisateur de téléphone au volant. Ces gadgets me paraissent donc un peu superflus quand le conducteur est attentionné sur la route.
        En attendant la voiture totalement autonome, j’utilise le frein moteur thermique ou électrique selon les véhicules pour ne pas avoir à freiner. En général, dans la famille les plaquettes de frein font entre 150000 et 200000 km.
        Notre vieille Carina E de 1993 qui a 240000 km finira par être recalé par le nouveau contrôle technique avant que l’on fasse des frais sur les plaquettes.

        1. que tu sois jeune ou vieux
          que tu sois geek ou très conservateur
          de toute façon, tu n’as pas le choix: les voitures en sont déjà équipées de ces technologies citées, ne ce fut que pour des raisons de marketing (dont les tests EuroNcap…). Et donc ces voitures de nos jours sauront parfaitement si elles doivent freiner ou pas au moment du relachement du pied droit, etc…

  2. Pas dégueu extérieurement, mais alors l’intérieur, on a l’impression qu’ils ont passé un contrat de partenariat avec les plastiques Curver

  3. Plutôt réussit ce break…moi qui n’apprécier pas trop le style Toyota ces dernier temps (à part le CH-R) je trouve celle ci très réussit.
    A part sa dans l’article petite erreur surement: -« un ensemble hybride doté d’un 2.0 et affichant 180 ch (cumul des deux moteurs essence + électrique toujours) » 2 MOTEUR ESSENCE? 😉

    1. La CVT est extrêmement fiable, douce et sans à coup.
      Il faut juste apprendre à manier ce régulateur. Appuyer comme un âne sur l’accélérateur ne sert à rien 🙂

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