« La direction d’Opel et les syndicats sont en discussions pour améliorer la production, les coûts, et la capacité », affirmait-il. « Nous comptons parvenir à un vaste accord au cours de l’automne. »
Dan Akerson a reconnu que son groupe n’avait pas réagi assez rapidement par le passé et que la situation avait changé, notamment pour la composition de la direction : « Ces dernières semaines nous n’avons pas hésité à agir quand les remaniements étaient nécessaires pour renforcer nos activités », promettant d’évincer tous les dirigeants qui ne répondront pas aux « critères les plus élevés ».
Cette petite phrase fait suite aux départs du patron d’Opel, du directeur marketing et du directeur du design fraichement nommé et pas encore en poste.
Une polémique est née dans la soirée d’hier lorsqu’un porte-parole a laissé entendre que la fermeture d’une ou plusieurs usines pouvait être l’un des points de négociations. IG Metall avait réaffirmé ne pas être prêt à mener de telles négociations et faisait tout pour « qu’aucun autre site européen ne ferme ».
Le porte-parole de General Motors s’est excusé, reconnaissant une erreur en soulignant que les négociations portaient sur les questions de capacités de production et que GM honorerait les contrats en place.
Et aussi : Opel : le patron du design parti avant même d’être arrivé
Source : Le Figaro