Général Motors devait signer en milieu de semaine un accord de reprise d’Opel par Magna, associé à la banque russe Sberbank.
Mais vendredi, la Commission européenne a toutefois émis des soutes sur la conformité aux règles européennes de concurrence de l’aide promise par Berlin, qui a piloté la reprise du constructeur qui emploie quelque 25.000 salariés en Allemagne.
Hier, Berlin a assuré que son aide n’était pas conditionnée au repreneur et qu’il ne voyait aucune raison de remettre en question la vente.
« Il n’est pas dans l’intérêt de la société fiduciaire de relancer la compétition entre les offres », a estimé M. Irwin. Le conseil d’administration de General Motors « doit se réunir aujourd’hui ou demain » et réfléchit « de façon pragmatique » a-t-il ajouté.
Aujourd’hui Opel emploi environ 50 000 salariés en Allemagne, Espagne, Belgique et en Pologne, ainsi qu’au Royaume-Uni sous sa marque Vauxhall.
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Source : AFP