NW Groupe : borne de recharge ultrarapide liée à batterie

Un système de borne de recharge pour lever la crainte d’être à court de jus

Ce dispositif situé à Vézin-le-Coquet, dans la campagne rennaise, breveté par la société NW Groupe, a la particularité d’associer une borne de recharge rapide à une unité de stockage d’électricité.

« Ce couplage de batterie, la JBox, avec une borne de recharge, IECharge, va permettre, y compris dans des territoires ruraux un peu éloignés, d’assurer des recharges rapides de véhicules électriques et de lever cet obstacle », la peur « d’être à court de jus », a estimé Mme Pompili.

Mobilité électrique partout et pour tout le monde

« L’idée est de montrer que des bornes de recharge, il y en aura partout et pas seulement au coeur des villes, de montrer que la (…) mobilité électrique c’est pour tout le monde », a-t-elle déclaré. Pour faire 300 km, il faut charger la batterie 10 à 15 minutes à cette borne d’une puissance de 160kW.

« On a la volonté de développer la recharge ultrarapide partout en France pour permettre aux gens d’avoir l’assurance de se recharger rapidement », a indiqué pour sa part Philippe Barbe, directeur du développement de NW Groupe. Actuellement, une station-service autoroutière sur deux est équipée d’une borne de recharge ultrarapide et elles devraient l’être toutes d’ici fin 2022.

Electricité pompée sur une batterie de stockage

« La principale originalité c’est que cette borne de recharge est raccordée directement à du stockage d’énergie, c’est une première mondiale. Elle ne va pas pomper l’électricité directement sur le réseau électrique mais sur notre batterie de stockage. On peut soutirer l’énergie la nuit pour alimenter des véhicules électriques le jour », a déclaré Philippe Barbe, directeur du développement de NW Groupe.

La JBox développée par NW Groupe permet ainsi d’améliorer l’efficacité de la gestion de l’énergie. Le système permet d’équilibrer le réseau électrique en se chargeant lorsque la production est trop importante et en réinjectant l’électricité lorsque la consommation est trop importante.

Dispositif compact tout-en-un, la JBox est – nous dit-on – facile à installer et à connecter au réseau de distribution local. L’IECharge, une borne de recharge pour véhicules électriques, est directement branchée sur la solution. Celle-ci permet à la batterie de relâcher la pression sur le réseau pendant la charge d’un véhicule à grande puissance – jusqu’à 320 kW, soit 16 fois plus rapidement que les points de charge habituels.

Sources : AFP, NW Group

(41 commentaires)

      1. En doublant les pertes de conversion et de stockage elec avec une batterie ravitaillant… une autre batterie!
        Super écolo, mais à condition d’être un super crétin.

      2. je pense que vous n avez pas compris l ecologie c est l effecience.

        Comme marque dessous cette solution n est pas efficience (15% de perte dans chaque sens)

        1. La batterie évite surtout de devoir tirer des câbles de gros diamètres pour alimenter uniquement des bornes électriques.
          Il existe un paquet de bornes annoncées comme étant des 50 kW mais qui ne peuvent distribuer que 30 à 32 kW !
          Parce qu’elles sont alimentées en triphasé 36 kVA, le maximum disponible dans la zone d’installation !!!
          si l’opérateur veut passer à 100 ou 150 kW alors il faut de nouveaux câbles … et là, ça peut vite coûter cher, et prendre du temps d’installation.
          Il y a aussi Kallisto qui a choisi de fonctionner différemment en
          installent des bornes à proximité de leurs éoliennes afin de profiter des câbles et transformateurs des éoliennes pour alimenter les bornes.

          1. emmanuel
            Il y a quand même des limites avec ces batteries tampon

            On part sur le principe d’une recharge de la voiture à 50kW, tout en étant relié au réseau que par 30kW (je fais grace du rendement, pour simplifier la compréhension pour tout le monde)

            Cela veut dire que la batterie doit délivrer une puissance complémentaire de 20kW, avec des électrons qu’elle doit stocker aux moments où la borne n’est pas sollicitée à recharger une voiture élec
            Fournissant une puissance de 20kW, alors à chaque heure de fonctionnement, elle délivre une quantité d’énergie de 20kWh.

            Si on suppose que la voiture recharge à 50kW pendant 1/2h, puis s’en va, alors la batterie tampon doit avoir une capacité minimale de 10kWh
            Pour pouvoir recharger ces 10kWh tampon avec un courant du réseau de 30kW, alors cela demandera 20 minutes. Si la voiture suivante se branche immédiatement, alors elle n’aura que les 30kW du réseau

            Reste à considérer les heures d’inactivité, comme la nuit. Pendant cette durée, si on met une très grosse batterie tampon, alors elle pourra stocker beaucoup d’élect en réserve, et pouvoir soutenir un fonctionnement en continue de la borne, avec un défilement non stop des voitures pendant la journée

            On a vu plus haut, il faut 20 minutes pour recharger la batterie tampon, puis 30 minutes pour recharger la voiture. Sur 24h, cela donne 10h de recharge de la grosse batterie tampon, et 14h pour recharger 28 voitures non stop pendant la journée. Ça se tient…..

          2. Le raisonnement précédent est valable pour une borne de 50kW, alimentée par du réseau à 30kW
            Mais que se passerait il si c’est une borne de 150kW, toujours alimentée par du réseau à 30kW?

            On voit donc que la batterie tampon doit délivrer une puissance complémentaire de 120kW
            La borne recharge une voiture élect puissante à 150kW en 1/2h. La batterie tampon va donc délivrer une énergie de 60kWh, qu’elle aura précédemment eu le temps de se recharger avec le courant du réseau à 30kW
            2h pour se recharger, et 1/2h de fourniture complémentaire à la borne, soit un ratio 4:1, ou bien encore 80% du temps à recharger la batterie tampon
            Sur un jour, 24h, cela veut dire 19h consacrées à recharger la batterie tampon, et 5h pour recharger 6 voitures, à la puissance de 150kW. Seulement 6 voitures, 6 clients…

            Précédemment ci-dessus, c’était 10h de recharge de la batterie tampon à 30kW. La batterie tampon aura une capacité théorique de 300kWh. Et la borne pourra avoir jusqu’à 28 clients

            Ici, c’est 19h, presque le double, donc une batterie tampon de 600kWh, et ce pour seulement 6 clients maxi par jour

            Financièrement, ça va être très très très difficile de se reposer sur cette technologie de batterie tampon. D’une manière ou d’une autre, il faudra tirer des gros cables électriques pour alimenter les bornes de recharge

          3. D’après ce que j’ai compris des explications lues sur un forum dédié VE, les tampons s’appellent JBox, sont des stockages de 1 MWh et il y en a déjà 150 d’installés sur le territoire français (Iles lointaines et ensoleillées comprises).
            donc largement de quoi faire tampon pour de nombreuses charges avant la panne sèche, sachant que ces batteries sont connectées au réseau pour être chargées.
            NW est producteur d’électricité décarbonée (éolien et solaire), tout comme Kallisto, NW doit privilégier sa production pour alimenter son réseau de stations.
            Espérons juste qu’il y aura des toits au dessus des bornes, parce que parfois il faut charger alors qu’il pleut. surtout que les toits peuvent accueillir des panneaux solaires 😉

  1. Pas idiot car je suppose que la batterie est chargée en heures creuses, et qu’elle peut éventuellement redistribuer du courant au réseau si nécessaire.
    Tout cela doit avoir un coût dont on ne parle pas ici, c’est dire qu’il doit être astronomique

    1. La fonction de la box est de stocker l’électricité afin d’équilibrer offre et demande sur le réseau . Raccorder une ou 50 bornes de charge sur la box est une fonction offerte par la box de stockage sans aucun impact sur le réseau . Bravo a l’équipe NW Groupe !

    2. 1 ou 50 bornes de recharge branchées sur cette box, ce n’est pas la même chose.
      Soit cette box devra être 50 fois plus puissante, 50x plus de capacité…
      Soit chacune des 50 bornes branchées sur cette box devra partager sa puissance, sa capacité… Grossomodo, 160kW à partager avec 50 voitures, soit 3.2kW chacune, c’est comme si on branche sa voiture électrique sur une prise 220V 16A…

      1. oui gigi
        mais il faut aussi comparer à « iso-service rendu » :

        -une raffinerie, c’est un service rendu à combien de millions de véhicules ?

        -et si on doit investir en ces bornes de recharge, avec leur batteries tampons, pour autant d’automobilistes, combien en faudrait il d’argent?

        1. Ces installations sont prévues en dehors des autoroutes le long des axes régionaux : une petite dizaine sont prévues en Bretagne, et les installations seront financées et gérées par la Région.
          D’après une personne travaillant dans le milieu de la recharge VE, une station complète avec 4 bornes jusque 320 kW ( 1x 50 ; 2x 150; 1 x 320) serait proposée à 500 000 € , la batterie seule c’est 200 000 €
          Pour info, une borne avec 150 kW c’est environ 100 000 à 150 000€ installation et liaison au réseau incluses.
          Donc tarif correct, 150 stations prévues en France d’ici la fin 2023.

          NW Groupe est un spécialiste des éoliennes et du solaire avec solutions de stockage. C’est cette société qui gère les installations à La Réunion ou en Guyane.

      2. Je confirme que mon post est un peu provocateur mais lorsque l’on parle de VE on insiste toujours sur ce qui se passe avant la prise mais rarement pour le VT dont on ne retient que ce qui sort de l’échappement.
        Et portant ce qui se passe en amont est loin d’être négligeable en coût et en conséquences environnementales :
        – Recherche de nouveaux gisements
        – Forage création et exploitation de la raffinerie
        – Transport par pipeline
        – « Re transport » par camions jusqu’aux points de distributions.

        1. Pour l’environnement certes. Pour le coût….mouais.

          Quand on prend le « coût » du pétrole dans son ensemble (jusqu’au baril), c’est en gros 50 centimes le lite final d’essence.
          3 à 4 centimes de marge de raffinage, 10 à 12 centimes de transport et distribution (tout compris), soit en gros 63 à 66 centimes d’€ par litre d’essence hors-taxe.

          Ca, c’est si l’Etat ne mettait aucune taxe.
          Ensuite, on ajoute la TICPE essence 66,29 centimes d’euros par litre pour du E10 soit 129 ç 132 centimes
          et on ajoute la TVA (20%) soit 1,55 € le litre. Bon, quand le baril augmente de 10 centimes, l’essence augmente de 12 centimes au moins (car on a aussi un pouïeme d’augmentation du transport, du raffinage, etc.).

          Pour le CO2 pour amener le carburant dans le réservoir, la base carbone de l’Ademe donne 14,2 kg CO2eq/GJ PCI.
          En gros, l’essence c’est 44 GJ/T soit 44 GJ pour 1340 litres ou 625 kg de CO2eq pour 1340 litres ou 466 g de CO2 par litre d’essence.
          Si on prend une voiture essence qui serait à 6 l/100 km, cela donne 2,8 kg pour 100 km soit + 28 g/km.
          En gros dans l’essence ou le diesel, il y a 4 à 5 fois plus de CO2eq par litre de carburant.

  2. Quelle capacité de batterie ? 1 Mwh? Combien de recharge/ jour?
    Comment rentabiliser un tel investissement sans subvention ?

  3. La vraie question, c’est plutot le rendement final. Il y a une perte pour charger la 1iere batterie, pour conserver cette énergie, et pour charger la batterie finale du V.E. ensuite. Car charger une batterie avec une batterie, c’est pas super optimal.

    Donc pour 1KW/H « pris » du réseau général, combien on en retrouve dans la batterie du V.E. ?

    1. Toujours meilleur que de faire du H2 «  » » »vert » » » » mais chuuuuuuuut la hype en ce moment c’est l’hydrogène….

    1. Ah zut, espérons que ce ne sont que des problèmes de réglage de démarrage ou de réglage (?)… Car l’idée est séduisante.

    2. La première station Kallisto c’est 2 bornes à coté de Compiègne. Il a fallu plusieurs semaines pour qu’une borne soit parfaitement fonctionnelle, et la seconde ne l’ai pas encore complètement alors que le chantier d’installation date de fin 2020 !
      Parfois Murphy s’en mèle !

  4. Il ne faut pas se faire d’illusions… L’Etat devra toujours faire tourner la machine France (justice, education, armée, santé, force de l’ordre…) de plus: on lui en demande toujours de plus en plus à cette machine France (subventions en tout genre, aide aux entreprises …) Tout ça pour dire que si l’état diminue les taxes essence, il augmentera ailleurs les taxes ou les impôts !

    1. L’état ne diminuera pas les taxes carburant.
      Actuellement, 1 centime de plus sur l’essence rapporte en gros 400 millions d’euros à l’état sur 1 an…

      Si on ne prend pas la TVA mais « juste » la TICPE, on a 60,75 €/hl de gazole.
      1 litre de gazole, c’est 10,74 kWh. Donc pour la TICPE gazole, on a 5,65 centime par kWh.

      Regardons l’électricité. On a la TCFE (taxe sur la conso finale d’élec) à 0,00995/kWh ainsi que la CSPE (contrib au service public d’élec) de 0,02250/kWh soit 3,245 centimes par kWh.
      Mais, il y a aussi une taxe fixe qui ne dépend pas de la conso, la CTA (contrib tarifaire d’acheminement) à 3,36 €. Si je prend ma conso (relativement faible car chaudière biomasse, cuisine au propane) cette CTA donne 1,81 centimes/kWh soit 5,06 centimes par kWh
      Sans compter l’abonnement (chez moi 9,35 pour un 6 kVA).

      On est donc en gros sur la même taxe par kWh sur le gazole ou sur l’élec.
      Mais…un VE c’est 15 à 20 kWh/100 km.
      Dans mes tests quotidiens, la Leaf était à 17 kWh/100 km sur mon trajet quotidien contre 5 l/100 km avec ma voiture actuelle (plus grande).
      Cela donne donc 86 centimes de taxe (hors taxe) avec 100 km en Leaf e+, contre 3 € HT pour les 5 l de gazole aux 100 km.

      Donc, résultat de tout cela…l’efficience d’un VE fait que niveau taxes cela fond comme neige au soleil.
      Mais pour les taxes brutes, elles sont assez similaires en fait.

      L’Etat va-t-il faire x4 ou x4 sur les taxes ? Ce serait la révolution 🙂

      1. ils vont etre « oblige » de remettre le tipce car une perte de 17 milliards car ils ne veulent travailler les sujets de fond (salaire des hauts fonctionnaire, diminution de moitie des deputes/senateurs/ministre)

        1. Les carburants liquides ne vont pas disparaître comme cela 😉
          Vous imaginez que l’Etat va dire « en 2030, les véhicules thermiques sont interdits de rouler » ? 😉 40 millions dans le parc roulant…on n’est pas encore dans « I, robot » 😀

  5. La voiture électrique est une pierre de plus à l’édifice du monde nouveau que les élites nous préparent depuis de longue date. Ainsi ultra connectées, ceux qui nous gouvernent pourront décider de bloquer l’usage de son véhicule à telle ou telle personne sur base d’un système de crédit social. Les bornes de recharge permettent de tracer tous vos déplacements et aussi de connaître les raisons de vos arrêts. Seuls les plus naïfs ne croient pas à cet avenir alors tout prouve que cela nous pend au nez.

    1. C’est quoi le rapport entre un véhicule connecté et un véhicule électrique ? Les véhicules thermiques qui sortent actuellement sont aussi connectés…
      De plus, c’est quoi le rapport entre être connecté et rouler ? Faut arrêter les réseaux complotistes…ça rend con.

    2. Vous pouvez toujours aller vivre au centre de la Sibérie sans rien… Eau, feu, pêche, chasse : dépêchez-vous de vous former pour votre nouvelle vie et bon courage !

  6. Oui emmanuel
    tuTas lu des infos, qui prises séparément sont très bien. Mais parfois, il faut prendre ces infos ensemble, et voir s’il y a quelque chose qui cloque ou pas

    Voici 2 choses:
    -« Il existe un paquet de bornes annoncées comme étant des 50 kW mais qui ne peuvent distribuer que 30 à 32 kW !
    Parce qu’elles sont alimentées en triphasé 36 kVA, le maximum disponible dans la zone d’installation !!! »
    -« les tampons s’appellent JBox, sont des stockages de 1 MWh  »

    Super!
    Avec une batterie tampon de 1MWh, on peut aider la borne 50kW (ps: alimentée par du réseau 30kW) pendant 1000/20=50heures. Permettre à 100 voitures électriques de « faible capacité » de se recharger en 30 minutes chacune
    De même, avec une batterie tampon de 1MWh, on peut aider la borne 150kW (ps: alimentée par du réseau 30kW) pendant 1000/120=8.5heures. Permettre à 17 voitures électriques de « forte capacité » de se recharger en 30 minutes chacune

    MAIS cette batterie tampon, de capacité 1MWh, doit d’abord être rechargée, avant de pouvoir aider la borne, avant de compléter la puissance que ne peut pas fournir le réseau (30kW). Or, pour recharger 1MWh avec du courant de 30kW, il faudra 33h. Pendant 1 jour et demi, la borne ne sera pas disponible, puisque toute la puissance du réseau servira à recharger sa batterie tampon

    Bref, batterie tampon, c’est bien. Mais cela ne dispense pas d’équiper la borne de recharge les cablages nécessaires pour soutenir les besoins de cette borne.

    Borne puissante + puissance réseau faible + batterie tampon.
    Ce n’est valable que pour des recharges rare dans la journée, laissant assez de temps à la batterie tampon pour se recharger elle même Mais dans ce cas là, intervient la notion de rentabilité. Avec 3-4 clients par jour, à quel tarif devra t on leur facturer pour rentabiliser l’investissement? (et si trop cher, alors personne ne viendra recharger leur voiture sur ces bornes)

    1. Ce type de station n’est pas alimentée avec un bête câble triphasé 36 kVA comme une entreprise ou une boutique installée dans une zone artisanale ou commerciale de petite ville dans laquelle le syndicat de l »énergie régional installe des bornes.
      Les batteries NW sont aussi utilisée par pour du stockage tampon d’énergie. Energie provenant des moyens de production NW (solaire et éolien) ou EDF (solaire, éolien, nucléaire) ou d’autres producteurs ayant des besoins de stockage. Et puisqu’il existe des batteries contenant de l’électricité en attente de vente, autant la vendre à des clients qui ne négocieront pas le tarif à 0.30€ le kWh, quelque soit la puissance de charge utilisée serait le tarif prévu.

  7. Si la base était des batteries de seconde vie recyclées de VE après 5 ou 10 ans d’utilisation embarquée pour une utilisation de 10 à 15 ans en stationnaire, ça peut devenir une bonne idée.

    1. après 5 ans, après 10 ans, la batterie n’offrira plus 500km d’autonomie, mais seulement 300km, ou même 200km, rendant très contraignant pour son propriétaire s’il souhaite faire des longs trajets…

      ….MAIS il y a des gens dont les trajets sont courts, jamais des longs trajets, très réguliers au quotidien, qui ne font jamais plus de 100km, voire même pas 50km par jour.

      -Est ce qu’on va exploiter encore plus de ressources pour leur fabriquer une batterie à faible capacité?
      -ou ne vaut il mieux pas réutiliser ces vieilles batteries pour tous ces besoins à faible autonomie, épargnant d’autant les ressources?

      La Terre n’est elle pas assez surexploitée? L’environnement n’est il pas assez pollué? Ne faut il pas privilégier au maximum la réutilisation des biens de consommation?

  8. c’était toi qui disait que ce genre de technologie permet d’offrir des bornes de recharge puissante 50kW ou plus, tout en ayant des cables d’alimentation modeste tout juste 30kW…

    sur cela, je montrais que ce n’est pas possible (sauf usage rare, pas continu)

    1. Bonjour Benoît.
      Dans votre lien, il y a de jolies « coquilles » 🙂

      « prise combo (css2) et d’un Chademo » >> C’est combo CCS 2 (combined charging system) et CHAdeMO (et ils y tiennent aux majuscules minuscules puisque c’est leur logo).

      Sinon jolies bornes et sympathique explication de leur dessin.

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