Cette tendance a été initié par les pays scandinaves il y a plus de 10 ans pour les premiers mais les constructeurs japonais rattrapent leurs retards depuis peu.
Toyota a déjà montré un prototype qui analyse la composition des micro-gouttes de sueur transpirés par les doigts dans le volant et calcule le taux d’alcool présent dans le sang du conducteur. Si le conducteur a bu plus que la limite légale, le démarrage est rendu impossible.
Nissan travaille actuellement en partenariat avec le gouvernement japonais pour mettre en place, en grande série, un système d’alcootest oû le conducteur doit souffler avant de démarrer.
Ces systèmes de détéction sont très bien dans le principe mais se révéleront très contraignants à utiliser. Les conducteurs vont être vite lassés de devoir souffler à chaque redémarrage et les parades existeront toujours, comme de faire souffler quelqu’un d’autre ou de porter des gants dans le cas de Toyota.
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