Elle se distingue assez clairement de ses deux cousines par un traitement propre aux valeurs de Lexus, que ce soit sur le plan du style, qui bien qu’assagi par rapport à l’intéressant concept qui l’avait précédé n’a pas à rougir par rapport aux plus élégantes du segment telles l’Alfa Giulietta avec laquelle elle partage une certaine latinité ou le traitement de l’intérieur typiquement Lexus. Le constructeur indique en plus qu’elle possède un caractère spécifique, plus dynamique que la prude Prius, même si il ne faut pas attendre de miracle de ce côté-là. Cela dit, ses concurrentes les plus sobres ne sont pas non plus des bêtes de course.
Offerte dans le monde entier, elle aura certainement plus de mal en Europe qu’aux Etats-Unis ou en Asie, où les diesels ne lui feront pas de concurrence, mais même sur le vieux continent elle constitue une intéressante alternative pour les allergiques à l’huile lourde. Par contre, elle devra compter hors d’Europe avec sa camarade de gamme la HS250h, qu’elle devrait éclipser sans trop de difficulté, compensant une motorisation et des dimensions plus modestes par un style nettement plus agréable et un prix de vente plus léger qu’on estime démarrer aux alentours de 30.000 euros.
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