Mondial 2022 Live : DS 3 et DS 7 facelift

Esthétiquement, les modifications sont assez mineures que ce soit sur le DS 3 ou le DS 7. Pêlemêle, on trouve les feux du DS 3 (l’intérieur) mais aussi les signatures lumineuses sur les deux véhicules. A l’arrière, DS Automobiles s’inscrit désormais sur la poignée du hayon et comme on l’indiquait, l’appellation Crossback disparait.

Sinon, les véhicules conservent toujours le même style et à l’intérieur, cela joue la carte du « trop ». Certains apprécient cette démonstration, d’autre préfèreront l’austérité maîtrisée de certaines marques. En tout les cas c’est plutôt bien fait et a un certain charme pour le nouveau DS 7. La nouvelle signature lumineuse continue fait moins « toc » que la précédente en pointillés.

Reste des motorisations que d’aucuns aimeraient coiffées par une « grosse version ». Mais, on le sait, ces versions sont plus là pour l’image que pour de réelles ventes. DS devrait-il sauter le pas pour améliorer son image ? Pour DS 7, il y a tout de même des versions hybrides rechargeables qui annoncent 300 et 360 chevaux, quatre roues motrices. Mais, le PureTech 200 est visiblement pas « noble ». C’est sûr, on est loin du quatre cylindres en ligne M139L 2,0 litres qui sort 476 chevaux (mais qui reste un 4 cylindres).

(3 commentaires)

  1. Assez jolies à l’extérieur si on accepte ces affreuses fausses sorties d’échappement. Ca ne doit pas coûter bien cher et ça semble devenu indispensable.
    A l’intérieur, le dessin des sièges et le design du tableau de bord plairont certainement à certains mais je trouve de mauvais goût. Pourvu que l’étape suivante ne soit pas la moumoute en peau de mouton sur le volant ?

  2. Un seul moteur quatre cylindre ordinaire de seulement 200cv qui équipe Peugeot ou Citroen : DS est une marque généraliste haut de gamme mais surement pas
    premium. E plus il n’ y pas de versions performantes et sport ni électrique.

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