Mercedes-Benz rend donc un grand service aux propriétaires de la légendaire 300 SL en s’associant avec le fabricant d’origine pour produire le tissu de la célèbre sellerie à carreaux qui équipait les coupés et les roadsters.
Les tissus, qui conserveront le même numéro de code d’origine, seront fabriqués à partir des spécifications d’origine avec de laine de mouton. Celle-ci a l’avantage de rester très confortable lors de longs trajets, de bien résister à l’humidité et d’être sans odeur.
Mercedes-Benz a travaillé en étroite collaboration avec le fournisseur et son département Design de Mercedes à Sindelfinden pour s’assurer que le motif original soit reproduit avec précision. Le tissu sera disponible dans les trois combinaisons de couleurs originales : bleu/gris (code L1), rouge/vert (code L2) et vert/beige (code L3).
Mercedes annonce que 80 % des 300 SL produits entre 1954 et 1957 étaient équipés d’une sellerie L1 bleu/gris. Le modèle rouge/vert était le deuxième choix le plus populaire avec 14 % des 300 SL tandis que la combinaison vert/beige reste assez rare avec seulement 6 pour cent des voitures.
Les propriétaires intéressés peuvent passer commande dès maintenant chez un concessionnaire de la marque. Il leur en coûtera 184,45 euros TTC au mètre (largeur de 1,40 m).
Dans les textiles, les progrès sont. Mercedes applique ce que font les anglais. C’est très bien. On a vu des textiles fragiles dans les autos des ans d’après guerre. On a aussi même chez des marques comme audi, exemple, vu des textiles de super qualité velours côtoyer de la cochonnerie dans un autre modèle pourtant. Oui le collectionneur qui veut retrouver ce qui existait peine parfois.
Il faut surtout saluer les hommes de l’ombre je dirai, des selliers artisans, artistes, qui ont fait par passion du service à rendre,eux aussi la collection des textiles. J’en connais qui ont des trésors en stock. Il faut les remercier.
Quand une firme s’engage sur cet exemple, et quand on aime les bonnes choses réalisées , moi je dis Bravo et Merci. même si j’ai et n’aurai jamais ce Mle Mercedes. ( pour différentes raisons cette voiture atteint des trop grosses sommes d’argent dans les transactions. Alors comme bcp d’autos de collection à présent, elles n’ont même plus l’intérêt de la voiture mais uniquement du capital, et là on sort carrément de la passion automobile. Seul l’argent compte. juste dommage, car belle et bonne auto de son temps pourtant )
C’est tres interessant de voir que la tendance de la restauration et du retrofit s’affirme et s’étend chaque jour un peu plus ( meme en France on s’y est mis, c’est dire ! ). Je suis d’accord avec labradaauto sur l’aspect négatif de la speculation, mais j’y vois quand même un interêt: les cotes montant, les propriétaires sont plus enclins à investir dans leurs autos, un meilleur entretien qui permet de garder un bon parc d’anciennes.
Oui, certaines voitures s’affichent à des prix fous, mais l’avantage c’est que cela redirige l’attention sur d’autres modèles oubliés et on peut se faire plaisir en les remettant en état sans se dire que c’est fatalement à fonds perdus.
La grande inconnue c’est de savoir si cet engouement ( osons dire marché ? ) tiendra longtemps avec toutes les réjouissances restrictives qui se profilent…
Oui le marché tiendra pour les anciennes ( avant 1960 ) sans contrôle technique mais avec une carte grise normale ou même collection, elles sont autorisées à rouler légalement. Elles roulent peu, il faut le dire.
« Les réjouissances restrictives profilées » viennent aussi surtout du scandale de la triche VW. C’est vogue politiquement. On veut tout régenter.On s’attaque aussi à la liberté. Je me souviens que le monde des collectionneurs a du poids pour afficher qu’il existe. En 1988 ( 30 ans ) je me souviens être allé manifester au parlement Européen de Strasbourg. Il était alors question de faire retirer de la circulation, détruire les anciennes au prétexte de l’amiante (frein, embrayage et aussi protection pare feu, mais un peu partout dans les vieilles autos) Les bonnes restaurations savent faire ce qu’il faut, ôter cette amiante- La voiture ancienne est elle aussi imprégnée de la période de transition que l’auto moderne est entrain de vivre, même si elle ne compte quasi pas de mazout.
Oui les voitures récentes ( ans 80 et après ) vont subir un peu des jouissances restrictives. ça va permettre je pense de faire le tri entre les vraies autos et celles qui n’ont reçu qu’un « air de fête » dans les restaurations.
Oui le marché tiendra pour les anciennes ( avant 1960 ) sans contrôle technique mais avec une carte grise normale ou même collection, elles sont autorisées à rouler légalement. Elles roulent peu, il faut le dire.
« Les réjouissances restrictives profilées » viennent aussi surtout du scandale de la triche VW. C’est vogue politiquement Je me souviens que le monde des collectionneurs a du poids pour afficher qu’il existe. En 1988 ( 30 ans ) je me souviens être allé manifester au parlement Européen de Strasbourg. Il était alors question de faire retirer de la circulation, détruire les anciennes au prétexte de l’amiante (frein, embrayage et aussi protection pare feu, mais un peu partout dans les vieilles autos) Les bonnes restaurations savent faire ce qu’il faut, ôter cette amiante- La voiture ancienne est elle aussi imprégnée de la période de transition que l’auto moderne est entrain de vivre, même si elle ne compte quasi pas de mazout.
Oui les voitures récentes ( ans 80 et après ) vont subir un peu des jouissances restrictives. ça va permettre je pense de faire le tri entre les vraies autos et celles qui n’ont reçu qu’un « air de fête » dans les restaurations.
Il y a un tas de positifs dans les prochains contrôles techniques.
…ouh lala les paragraphes multipliés EXCUSES SVP pour le lecteur svp. le chat dort aussi tout proche du clavier nom d’une pipe, y pose ses pattes !je traduis les ralentissements , publication pas prévue !!!