Lorsque Mercedes présentait son Concept-Car Vision SLR à la fin de la dernière décennie, la marque allemande annonçait larrivée prochaine de la digne descendante de la légendaire 300 SLR. Quelques années plus tard, la McLaren Mercedes SLR pointait enfin le bout de son très long capot après une longue période de maturation. Souvent critiquée pour son embonpoint excessif et ses performances légèrement en retrait par rapport à ses copines Ferrari Enzo et Porsche Carrera GT, la SLR restera dans les mémoires comme le dragster le plus élégant de tous les temps. Dans moins dun an, cen sera fini de la production de la supercar Mercedes.
La production de la SLR avait déjà été arrêtée fin 2007. Désormais, après la série très limitée 722, il ne reste plus que la RoadsterAvant quelle ne sarrête à son tour dans moins dun an.
La fin dune carrière résumée en cinq années dexistence, durant laquelle elle na jamais réussi à atteindre les objectifs de vente voulus par Mercedes à sa sortie : Lannée dernière 275 SLR ont été construites, soit la moitié de ce que la marque à létoile prévoyait pour chaque année.
La SLR restera comme le fruit de la difficile collaboration entre des ingénieurs McLaren frustrés de ne pas rééditer une auto aussi extrême que la F1, et une branche Mercedes bien décidée à lui donner un niveau de raffinement digne des limousines de la marque allemande. Au final, la SLR aura été comme posée entre deux chaises : Mi-supercar, mi coupé luxueuxDes performances en retrai par rapport à ses rivales Porsche ou Ferrari, et un prix de vente plus de deux fois plus élevé quune SL65 aussi puissante.
Mais comme je suis têtu, je vais encore réaffirmer mon idolâtrie sans bornes pour cette merveille dagressivité et de style, qui reste pour moi la seule supercar capable dêtre utilisée au quotidien et de déplacer ses occupants dans un confort sans équivalent pour une voiture aussi performante. A part la Veyron plus de deux fois plus cher, je ne lui vois pas de concurrentes dans ce domaine.
Pour lui rendre hommage, une vidéo tournée par Le Blog Auto ce dimanche au HTTT de sa version « circuit only », la 722 GT, en attendant un autre article sur quelques séances de burn au circuit Paul Ricard
A lire également : Scoop : Mercedes SLR722GT au Paul Ricard
Vous avez frquemment des problmes de typographie :
Quelques informations pour compléter le premier billet sur ce sujet. De manière générale…
Avouez qu’il est difficile de lire votre billet.
C’est vraiment le serpent qui se mord la queue…
Je croyais que BLUEMOTION rimait avec rduction des consommations (diminution des frottements en particulier). Je ne comprends pas bien l’intrt de cette version. 4rm avec 105ch est-ce bien utile?
Je suis soufflé : Les caractères sont correctement transcrits dans le commentaire !!!!
pq tu parles de bluemotion?
il est clair que si dans une quelconque région du monde oû il y aurait un peu de neige, un acheteur potentiel se posait la question du choix entre une 308 break et un golf 4 motion break, le choix se porterait naturellement vers la deuxième
et pouratnt elle n’est pas tràs belle
mais vw occupe une petite niche, laissée encore par les francais
parce qu’il semble ne pas savoir que 4motion désigne les golfs 4 roues motrice depuis 2 générations.
Rien à voir avec Bluemotion
@oliverte.
En fait la version 4motion est née de la demande des bavarois et des autrichiens de pouvoir disposer d’une golf 4 roues motrices dans la montagne.La mode SUV n’étant pas encore arrivée, ils ont foncé.
Elle est très moche. Et en Tdi 105, ça doit ramoner, comme on dit par chez-nous…
Bref, je préfère ma panda 4×4 (pas la même vocation, certes).
Une petite rectification par rapport à l’article, cette golf 4motion n’est pas une transmission intégrale « permanente », elle utilise un système haldex qui enclenche la transmission intégrale seulement lorsque l’électronique détecte un problème d’adhérence… en condition normale, la répartition de la motricité est 90/10. 🙂