Voilà un produit qui ne va pas desserrer le carcan des stéréotypes appliqué à nos amis d’Outre-Rhin. D’une finesse asymptote de la « Grosse Bertha », d’un caractère faisant des oeuvres wagnériennes une modeste compilation de menuets pour jouvenceaux glabres, LOTEC ressort de son antre sa Sirius pour l’exposer à une lumière monégasque qui brillera de mille feux lorsque son salon Top Marques sera lancé le 20 avril prochain.
Les tenants de la « Mare Nostrum » vont voir ainsi débarquer une barbare aux lourdes manières, prête à tout dévorer sur son passage. Pour s’en convaincre, il n’y a qu’à lire les premières lignes de sa fiche technique, à classer dans la catégorie des armes de destruction massive: un peu plus de 1 330 chevaux…
Chez LOTEC, on n’a jamais fait dans la demi-mesure. Depuis 1962, on s’ingénie à jouer les apprentis sorciers en gavant de grosses cylindrées de Turbo. Les mécaniques BMW, en compétition, FERRARI, à travers une Testarossa, et, à présent, MERCEDES y sont passées. Que les choses soient claires, en dessous des 770 chevaux, on ne discute même pas.
En 2000, LOTEC a pensé à sa SIRIUS qui élève la barre à 1 336 chevaux. Pour ce faire, le V12 MERCEDES de 6 litres, placé en position centrale, a reçu le renfort d’une paire de Turbos KKK qui catapulte l’engin de 1 280 kg à 400 Km/h. Tout en finesse, vous étiez prévenu.
1 300 Nm à 4 300 tr/mn en valeur de couple, un 0 à 100 oublié en moins de 4 secondes, la SIRIUS a les arguments pour se faire entendre dans le monde des super-cars. Un peu oubliée, elle compte bien, sur le Rocher, se rappeler au bon souvenir de sa caste.
SOUCE: www.lotec-gmbh.de