La France avait demandé une intervention du Fonds Européen d’Ajustement à la Mondialisation pour aider 3582 salariés volontaires au départ de leur poste chez Renault et sept filiales du groupe durant les années 2008 et 2009.
4400 salariés avaient été volontaires au départ. 3582 d’entre eux avaient reçu un accompagnement professionnel et de réinsertion financés par Renault pour un coût global évalué à 37,6 millions d’euros.
« La crise financière a entraîné un ralentissement économique qui a particulièrement touché le secteur automobile. La production automobile en Europe a chuté considérablement et la situation des travailleurs du secteur reste difficile », a déclaré Laszlo Andor, commissaire à l’emploi, dans un communiqué.
Selon les lois régissant actuellement la lente Europe, cette décision de la Commission Européenne doit désormais être ratifiée par l’ensemble des gouvernements des 27 pays membres de l’Union Européenne et par le Parlement Européen.
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