Les Fabia Greenline en production

Dans les prochains jours la gamme écologique et plus respectueuse de l’environnement de Skoda entrera en phase de production après avoir été présentée en détails à l’occasion du dernier salon de Francfort. Premier modèle concerné, la Fabia version Greenline.

Au sein du groupe Volkswagen, on trouvait déjà les gammes plus respectueuses écologiquement parlant, enfin moins polluantes, avec les EcoMotive, TDie ou BlueMotion. Manquait simplement une déclinaison semblable chez Skoda jusqu’au dernier salon de Francfort avec la présentation de la gamme Greenline. Le premier modèle à en bénéficier (pneus basse friction, aérodynamique améliorée, boîte de vitesses revue, centrale électroniques modifiée ou kit anti-crevaison à la place de la roue de secours et spoiler avant modifié) est donc la Fabia. Suivront prochainement les Octavia, Roomster et Superb.

Question chiffre, la Fabia, moteur 1.4TDI de 80 chevaux, jouit d’un taux d’émissions particulièrement correct avec 107g/km de CO2 (bonus écologique de 700) soit moins que la première donnée communiquée par la marque (110g/km) pour une consommation moyenne de 4.1l/100km. Pas d’indications sur le tarif des versions françaises. Nul doute qu’il devrait s’approcher des premiers prix de vente communiqués en Italie avec une Fabia à 16 310 et une Fabia Combi à 16 940, les deux modèles en finition Style. Mise à jour prochainement sur les tarifs hexagonaux et sur la date d’arrivée en concessions.

A lire également. Skoda Fabia et Octavia Greenline, Seat Leon EcoMotive et Volkswagen Sharan BlueMotion.

A voir également. Galerie Skoda Superb.

(13 commentaires)

  1. Pour ma part, je pense que les états ont tout intérêt à soutenir la recherche, quel que soit le sujet, et encore plus pour développer des solutions de transport propres et économiques, même si au final ce sont des entreprises privées (nationales) qui les utilisent : au final, c’est des emplois, des impôts, des sous-traitants etc. et donc toute l’économie et l’état qui en bénéficient. En revanche, gare aux délocalisateurs : si les impôts restent bien dans le pays, il faut que les emplois (une partie significative en tout cas) restent aussi dans le pays.

  2. Ce n’est pas la France qui pousse PSA a modifier sa strategie hybride mais une enquete de l’Europe sur le financement public obtenu par PSA. La France était tout à fait favorable a ces recherches et poussait dans ce sens via différent centre(CEA…). Mais c’est sûr que si les dires de Jim Press sont véridiques ça ressemble un peu à de la concurrence deloyale. On attend la position de l’Europe sur ce point.

  3. Pourquoi pour éviter ces polémiques sur PSA, la France ne charge pas un de ses organismes publiques de recherches de travailler sur l’hybride et ensuite les constructeurs achètent les brevets ou une licence d’exploitation ?

  4. Bien sur que la concurrence est déloyale mais c’est le cas depuis des années.
    Quand le Japon décide de jouer favorablement sur le cours de sa monnaie pour rendre la porduction nippone la moins couteuse possible: c’est quoi?
    Quand des apays asiatiques ou autres ont une main d’oeuvre 100 fois moins chere qu’en europe: c’est quoi?
    il n’ya pas les bons et les méchants d’un cote mais le systeme economique mondial est injuste et déloyal et ce n’est pas pres de changer

  5. faut pas confondre le japon et la chine quand même. Le Japon, ca fait 10-15ans qui n’ont pas de croissance et les salaires là-bas ne sont négligeables.

  6. A moins d’une aide européenne apportée à l’ensemble de nos constructeurs, je ne voie pas comment on pourrait faire.
    Clairement, la seule méthode européenne n’est pas d’aider, mais d’imposer. Mais au niveau des batteries, de grands groupes industriels (bolloré) y arrivent, je voie pas pourquoi on aiderai els constructeurs automobile…

  7. On ne compare pas les salaires mais le coût salarial, c’est à dire tout ce que coute un salarié pour un patron.

    En France par exemple, le SMIC est à 1200 brut environ. Et pour un employé, c’est son salaire. Il ne voit que ça. Il ne voit que « ce coût », cette somme que son patron lui verse tous les mois.
    Sur ce salaire, l’employé verra son salaire brut déduit de la part de cotisation salariale. Ce qui fait qu’il ne voit qu’un salaire net de 950 environ.

    Mais pour un employeur, il lui reste aussi la part de cotisation patronale. En plus de ces 1200, il doit « participer » d’une somme surement les 500.

    On pourrait très bien « gonfler » le salaire de l’employé smiccard français. Le patron lui verse 1700 en tout et pour tout. Et de cette somme, l’employé déduira 750…

    « ouaaaaah. C’est fou ce qu’on gagne bien son salaire en France. 1700 minimum garantis par mois… »

  8. hé circonspect !!! tu t’es un peu trompé !
    c’est 2 300 qu’il fallait écrire.
    tu es bien généreux…
    Quoiqu’il en soit le pouvoir d’achat du japonais est légèrement supérieur à celui du français (mais il travaille beaucoup +)
    Il est d’usage , au Japon de faire cadeau à son patron de ses congés payés ( c’est à dire que le japonais renonce à une partie de ses vacances sans réclamer de contrepartie…., mais il y a également moins de chômage que chez nous )

  9. MDR
    Le gouvernement japonais en partenariat avec ses contructeurs nationaux a investi il y a plus de 10ans dans les technologies hybrides.
    Et pendant ce temps les contructeurs européens et américains ont fait quoi ? des protos ?
    France telecom devrait dénoncer apple et microsoft parce que le minitel c’était l’avenir.
    Chrysler est vraiment au fond du gouffre (financié ?).
    Hou hou toyota faut nous racheter dixit Mr Jim Press 🙂

  10. Dans le cas de l’Italie c’est l’Etat (donc tous le citoyens) qui a beacoup financée indirectement la Fiat dans le années dernieres à través la integration des salariées, mais de grosse innovotians techniques on a jamais vu.

    Plutot on a vu des grandes benefices por la famille Agnelli et tous les entrepreneurs connectées (Montezemolo en tete) et un
    déchets de l’argent public en reponse à l’incapacité managerial du group.

    Ce que je puet vous dire est que ici en Italie voulent tous se faire passer pour liberistes, mais puis frappent en cachette à la porte de l’Etàt pur etre soutenus.

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