Chose promise chose due, le moteur diesel annoncé par Subaru au Mondial de lAutomobile de Paris en 2006 arrive. Dune cylindrée de 2,0l, il équipera à son lancement les Legacy et Outback.
La particularité de ce quatre cylindres est quil retient, comme tous les blocs Subaru, une architecture à plat. Le but étant de diminuer les vibrations et daméliorer la stabilité générale du véhicule en abaissant le centre de gravité. Entre autres caractéristiques, ce moteur se distingue par sa compacité, il est en effet bien moins encombrant que le 2,0l essence de la marque, grâce à un entraxe entre cylindres réduit. Côté performances, ce moteur développe 150ch à 3600 tr/min et un couple de 350Nm à 1800 tr/min. Sa masse plus importante que les moteurs essence à conduit Subaru à majorer le diamètre des disques à 16 pouces. Les Lagacy et Outback 2,0D se distingueront des autres versions par quelques équipements, comme les sièges spécifiques.
Une page se tourne, en effet. Il sera sans doute difficile pour Ferrari de faire aussi bien qu’au cours des années Todt. Pour autant, il ne me manquera pas. Je n’aimais pas son approche de la course, la victoire par tous les moyens etc… Il a conduit Peugeot et Ferrari vers les sommets, mais humainement, désolé, je n’y arrive pas.
Pour l’avoir vu de près professionnellement c’est quelqu’un qui ne supporte pas l’approximation. On peut lui reprocher une grande froideur dans ses fonctions et de ce fait dans les relations à autrui mais il est loyal, puis n’oublions pas ce qu’il a fait de la scuderia ! Enfin saluons son implication dans l’Institut du cerveau et de moelle épinière : Les recherches concernent la maladie dAlzheimer, de Parkinson, paraplégie, tétraplégie, accident vasculaire cérébral…
Un meneur d’hommes …
Mais je n’aime pas sa façon de gagner a tout prix.
il manquera beaucoup a ferrari, ils vont avoir un mal de chien a remonter la pente.
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il manquera beaucoup a ferrari, ils vont avoir un mal de chien a remonter la pente.
il manquera beaucoup a ferrari, ils vont avoir un mal de chien a remonter la pente.
Tout à fait.
Sinon, comme beaucoup, je reconnais que c’est un grand nom du sport automobile mais je suis pas fan du personnage, surtout de ces délires chez Ferrari dans les années 90.
Il a toujours sa jolie fiancée pour lui 😉
Réellement dommage pour La Scudérria, y va manqué, c’est sur, mais c’était aussi a prévoir après le départ du « Baron rouge ».
Tout comme dans les affaires, les sentiments et la compétition n’ont pas leur place. Autrement dit Monsieur Todt n’était pas chez Ferrari pour plaire au plus grand nombre mais pour vraincre. Je lui adresse toutes mes félicitations.
la succession est déjà mise à mal…
Il a tout gagné en temps que directeur sportif (Le Mans, le Dakar, la f1 et le rallye). Incroyable.
Mais comme déjà dit, je n’aimais pas du tout son coté (in)humain…
Je lève mon chapeau bien haut et je m’incline bien bas pour saluer le départ de Jean Todt, un homme qui a porté Ferrari à bout bras pendant de nombreuse années et qui a donné tout ce qu’il avait à cette écurie!
Ce n’est pas seulement une page de Ferrari que se tourne, mais une page de la F1. Jean Todt aura marqué ce sport fabuleux durant de nombreuses années. Sans lui et sans Schumacher, Ferrari ne sera jamais comme avant.
Beau geste qu’il a fait à Peugeot l’an dernier lorsqu’il a accépté de libérer le pilote d’essai maison Marc Gené pour qu’il court les LMS et les 24H du Mans chez le Lion 😉