Le SUV qui beugle très fort
Doté de 650 chevaux dans sa version de base, le V8 4.0 litres de l’Urus reçoit un traitement de choc (stage 3) qui porte la puissance à 782 chevaux (dépassant allègrement les 707 chevaux du Grand Cherokee Trackhawk) et le couple à 1032 Nm. Le résultat est obtenu par le réglage du calculateur plug-and-play qui modifie les paramètres de la cartographie pour l’injection, le contrôle de la pression de suralimentation et l’allumage, le tout associé à un nouveau système d’échappement. La boîte automatique à huit rapports est conservée telle quelle.
Côté performances, Novitec annonce 3″3 pour le 0 à 100 Km/h (3″6 pour celui d’origine) et une vitesse max à 310 Km/h.
Un kit musclé
Novitec a travaillé aussi sur l’esthétique avec un kit de carrosserie large ESTESO de 14 pièces qui comprend notamment des évasements d’aile sur les essieux avant et arrière, augmentant ainsi la largeur du SUV de 10 centimètres à l’avant et 12 à l’arrière ! Le becquet arrière, le diffuseur, les pare-chocs, les passages de roues et les bas de caisse sont également remaniés avec, en option, un capot en carbone brut disponible pour renforcer le côté sportif et radical. De profil, l’aspect SUV disparait presque, le Urus ressemblant davantage à un coupé surgonflé. Cela reste toutefois moins excessif que les préparations de TopCar ou Mansory.
Le monstre est monté sur des jantes Vossen de 23″ spécifiquement développées pour le modèle, chaussées de Pirelli P Zero 285/35 et 325/30 . Les dernières modifications concernent la suspension, qui aboutit à un abaissement de 25 millimètres de la hauteur de caisse.
L’avis de leblogauto.com
L’Urus de Novitec pourrait jouer dans un Transformers, c’est indéniable. Déjà que le SUV de base ne passe pas inaperçu, là c’est garanti !
Source et images : Novitec
Une bonne caisse de « complexé »
?
Sa doit être limite dorénavant pour monter les trottoirs…….