Le premier crossover de la marque française Renault dévoilé officiellement au salon de Genève retrouve la capitale pour une exposition au coeur de l’Atelier Renault qui se tient jusqu’au 8 juin prochain.
Le premier SUV badgé Renault espère bien se tailler une part de marché appréciable dans un segment où se côtoient déjà nombre de modèles dont ses homologues français Peugeot 4007 et Citroën C-Crosser ou l’incontournable rival nippon Toyota Rav4. Histoire de ne pas voir s’envoler l’effet découverte/engouement (pour les plus conquis), la firme de Boulogne-Billancourt invite depuis quelques semaines le public à franchir la porte de l’Atelier afin de découvrir l’histoire du Koleos.
Au programme : les coulisses de la conception avec esquisses et maquettes, tests réalisés dans des conditions météorologiques frisquettes au Japon et chaudes en Australie, essais en soufflerie, crash test ainsi que l’intégralité des étapes de la fabrication du SUV au losange. Si vous ne craquez décidément pas pour le Koleos, l’Atelier met également en lumière d’autres modèles comme la Laguna GT, la Renault Megane F1 Team ou la Clio Rip Curl.
A lire également. Live Genève : Renault Koleos, Renault Koleos en vidéo et Renault Koleos en vidéo part2.
A voir également. Galerie Genève Live Renault Koleos.
Crédit photos Atelier : Renault.
Merci Elisabeth.
ça fait un certain temps que l’info circule et enfin un article sur leblogauto 😀
maintenant qu' »il on découvert ce qu’étais les droit des employer et quel sont les salaires et le niveau de vie de leurs homologues ouest européen il ne sert plus à grand chose aux industrie de délocaliser la bas. Un jour ce sera pareil en russie et en chine et notre industrie nous reviendras car nous aurons toujours un savoir faire et des innovation supérieur. C’est d’ailleurs en préssentant cela que Tata à acheter deux fleuron de notre industrie.
Il ne servira bientot plus à rien de délocaliser, car plus vite qu’on ne le pense les pays en voi de dévelloppement atteindrons notre niveau de vie. Seul notre ami ratan tata y gagneraen ayant aquis des fleuron de notre ndustrie, il est malin celui là
Effectivement je comprend que les travailleurs souhaitent obtenir une augmentation. et je partage l’avis de Mr ….. qui voit venir l’augmentation du niveau de vie et des exigences des travailleurs des pays en voie de développement.
Par contre, je trouve qu’une augmentation de près de 50% d’un coup, ils se génent pas. Certe ils gagnent quasi rien par rapport à nous mais là n’est pas la question. S’ils gagnent peu, le niveau de vie dans lequel les travailleurs évoluent est lui aussi bas.
Pour mieux me faire comprendre, on peut dire qu’une augmentation de salaire de 50% en roumanie, correspond à une augmentation de salaire d’au moins 30% en france ! croyez vous que votre patron acceptera sans broncher votre requête ?
(ps: mes chiffre sont destiné à illustré mon propos et non basée sur une étude ou un calcul quelconque).
Comme déjà posté, j’adore…
Les mecs scient la branche sur laquelle ils sont assis, c’est excellent tout cela. C’est super dangereux pour eux, en sachant que la Dacia est fabriquée dans plein d’autres usines dans le monde. Continuez à faire chier les dirigeants, et ne venez surtout pas vous plaindre qu’on délocalise 😀
finalement, si je calcule bien: 230000 voitures par an fabriquées par 12000 employés, ça fait 19 Logan par gars qui veules 150 de plus soit 1800 par an
Donc une augmentation de 95 par Logan fabriquée!
Dépêchez vous de commander votre Logan, si Renault accepte les reventications, elle va augmenter de 200 (y a pas de petit profit!)
Voilà un sacré retour de bâton pour le groupe Renault
Fervent défenseur du libéralisme économique, je suis pour une fois complètement d’accord avec les revendication des employés Dacia.
Les retombés économiques des ventes records de Logan ne peuvent pas bénéficier uniquement au groupe et actionnaires.
De plus, je trouve effrayant que les ressources humaines du groupe soient incapable de régler cette affaire ailleurs que devant la justice. Son rôle n’est-il pas d’éviter d’en arriver à ce point?
Je serais plus d’accord sur l’augmentation du prix de chaque logan vendues(quelques euros?) ce qui permettraient au Roumains d’augmenter leur niveau de vie et se rapprocher un peu plus du niveau de vie Ouest Européen.
Une chose est sûre développer une offre low cost sur n’importe quel marché reste une initiative économique très contraignante
On croirait nos bon cégétistes… Ils demandent une énorme augmentation, alors qu’en plus ils sont déjà mieux payés que la moyenne locale, le salaire minimum roumain étant de 210, ils gagneraient plus de deux fois le « SMIC » local… Je ne pense pas qu’en France, les employés dans les usines soient payés deux fois le smic…
Ce serait déja la fin du low-cost?
« le salaire minimum roumain étant de 210, ils gagneraient plus de deux fois le SMIC local » : je pense que tout le pb est là.
Effectivement , la Roumanie est un pays assez « particulier » ou BMW X3 et 4 x4 Mercedes cotoient les vieilles Dacia type R12 et les charrettes en bois sur la même route.
C’est le decalage entre ces deux mondes qui pose aujourd’hui pb.
com.#2
maintenant quil on découvert ce quétais les droit des employer et quel sont les salaires et le niveau de vie de leurs homologues ouest européen il ne sert plus à grand chose aux industrie de délocaliser la bas. Un jour ce sera pareil en russie et en chine et notre industrie nous reviendras car nous aurons toujours un savoir faire et des innovation supérieur. Cest dailleurs en préssentant cela que Tata à acheter deux fleuron de notre industrie.
Il ne servira bientot plus à rien de délocaliser, car plus vite quon ne le pense les pays en voi de dévelloppement atteindrons notre niveau de vie. Seul notre ami ratan tata y gagneraen ayant aquis des fleuron de notre ndustrie, il est malin celui là
……..
29/03/2008 @ 0:19
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Quel raisonnement simpliste!!!
Je t’inviterai à lire le livre « les raisins de la colère », notamment le passage où l’on voit les gens se battre pour un enchère inversé (à celui qui acceptera le salaire le plus bas pour être embauché).
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Il en est de même pour notre monde moderne. La demande (de travail) est supérieure à l’offre (de travail). De ce fait, il y aura toujours un pays qui essaiera de proposer des conditions plus avantageuses (salaire, loi de travail, loi sur l’environnement…) pour attirer les industriels. Et si Paul a reçu quelque chose, c’est parce qu’on a dépouillé Pierre de cette chose.
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Qu’est ce qui mettra un frein à cette course à la délocalisation?
-SOIT le cout de revient global du produit délocalisé est supérieur à celui fabriqué sur le pays du consommateur. Par exemple le cout du transport entre la Chine et l’Europe devient plus onéreux que le gain sur le salaire chinois ainsi que les normes de polution des installations industriels
-SOIT…il n’y a plus de consommateur chez nous, parce qu’il n’y a plus de travail, donc pas de source de revenu, et que la caisse d’assurance chomage a mis la clé sous la porte (que des chomeurs et aucun cotisants)
à l’échelle mondiale, la demande de travail est supérieure à l’offre.
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->si la France n’avait pas accepté les immigrés comme tu le dis, ils resteraont dans leur pays. Et comme dans leur pays, le travail (« bien » payé) n’existe pas, alors ils feront du dumping social depuis leur pays.
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->si en France, on avait forcé les gens à travailler jusqu’à 65 ans au lieu de se battre pour la retraite à 55 ans, alors d’autres pays forceront leur travailleur à trinquer jusqu’à 75 ans, à commencer à bosser dès 10 ans (ce qui se fait déjà, et bien avant cet age)
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->Et si on décide de taxer les produits étrangers (ouf, on est sauvé de la concurence étrangère suir notre sol), alors les autres pays décideront de taxer à leur tour nos produits (et merde! nos usines se retrouvent alors avec tellement de produits made in france invendu)
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Mister Dadounet. Arrête de réfléchir avec ton esprit étroit à l’échelle franco-française.
Il y a, à l’étranger comme en France, des gens qui ne demandent qu’à consommer – et donc qui offrent du travail.
S’ils ne peuvent en offrir davantage, c’est parce qu’ils sont pauvres.
Pour s’enrichir, il faut produire pour vendre.
Il y a donc autant d’offre que de demande de travail !
Mais l’Europe se bat avec un bras attaché par les coûts sociaux.
Le ‘dumping social’ des autres, c’était la condition normlale chez nous ; ils s’en sortiront dès qu’ils le pourront.
Sur ton 3ème point, la taxation, je suis bien d’accord.
En fait, le raisonnement de ….. n’est pas faux, il est juste prématuré, car d’ici à ce que les 1, 5 milliards de va-nu-pieds rien qu’en Chine et en Inde se soient enrichis, il y a de quoi se ruiner ici !
En fait, nous ne pouvons à la fois acheter des produits ET de la paresse (retraite à 50-55 ans alors que la durée de vie augmente d’un trimestre par an) et coûts sociaux d’immigrés (là, les patrons sont fautifs : ils ont profité en privé de leur bas coût salarial et ont nationalisé lex coûts ; s’ils n’avaient pas été relayés par les traîtres de gauche qui ont vus des électeurs prolos de remplacement, l’immigration aurait cessé depuis belle lurette).
Par contre, des étrangers chez eux s’enrichissent de leur propre travail et doivent s’assumer.
La mondialisation est une chance en soi, à nous de ne pas la rater en nous ruinant en coûts sociaux.
De plus, tu es obnubilé par l’image de la part de tarte : « si Paul a reçu quelque chose, cest parce quon a dépouillé Pierre de cette chose. »
C’est – heureusement – faux !
Il y a création de richesse, donc Paul peut s’enrichir sans dépouiller qui que ce soit.
Dadounet, j’ai effacé votre commentaire avec un lien vers un site prônant la xénophobie. Veuillez vous référer à la charte des commentaires.