Fiat devient donc le meneur du groupe d’investisseurs auquel a été cédé le constructeur américain. Dans ce groupe d’investisseur, Fiat détiendra 20% des parts du « nouveau Chrysler », le groupement des syndicats en détiendra 68% tandis que les 12 derniers pourcents seront détenus pas les Etats américains et canadiens.
Grâce à cette reprise providentielle par Fiat, Chrylser devrait être capable de proposer de « petits » véhicules compétitifs sur le marché américain à plus ou moins court terme.
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