La nouvelle Mini dévoile quelques nouveautés techniques

Ces nouveaux moteurs sont déjà largement été détaillés. Pour résumer, rappelons qu’il s’agit d’une nouvelle famille de blocs modulaires, avec une haut degré de commonalité entre les versions essence et diesel. La cylindrée unitaire est de 0,5 litres. Au programme en essence injection directe, turbo (intégré au collecteur d’échappement), double Vanos (contrôle des arbres à cames) et Valvetronic pour les versions les plus huppées.

La Cooper recevra un 3 cylindres de 136 ch et 220 Nm, et la Cooper S un 4 cylindres (2,0l donc) de 192 ch et 280 Nm. En diesel la gamme s’ouvrira au lancement avec un 3 cylindres 116 ch / 270 Nm. Ces moteurs seront associés à de nouvelles transmissions automatiques et manuelles. Ces dernières comprennent une fonctionnalité d’adaptation du régime moteur lors des changements de rapports. Quant aux boites automatiques, elles seront le cas échéant connectées au système de navigation pour adapter le passage des rapports au profil de la route…

Entièrement nouvelle, la plateforme UKL1 conserve néanmoins les schémas de trains utilisés par la Mini depuis plusieurs années : Pseudo McPherson à l’avant et multibras à l’arrière. La nouvelle génération est toutefois plus modulable pour s’adapter à plus de véhicules (y compris des modèles BMW) jusqu’au segment C (remplacement de la Série 1), et aussi plus légère avec l’emploi d’aluminium ou d’acier a (très) haute limite élastique. On notera aussi l’apparition d’amortisseurs pilotés, uniques sur le segment.

Dernier chapitre, la sécurité. La Mini entend bien entendu atteindre les meilleures scores en termes de protection des occupants et toute sa structure a été pensée en ce sens. Elle protège aussi les piétons avec un capot actif. Ici aussi une première sur le segment, qui permet de maintenir le capot assez bas.

Source : Mini

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