Cette Jaguar Type-D fut la première à quitter les chaînes de montage il y a plus d’un demi-siècle, en 1955 très précisément. Modèle de sport historique donc et doublement après avoir été adjugé en marge du festival de Goodwood pour plus de quatre millions de dollars.
Première représentante d’une longue et historique, cette Jaguar Type-D produite en 1955 était mise en vente par la célèbre maison Bonhams lors du festival de vitesse de Goodwood. Un Jaguar très présent du reste avec la présence remarquée de la XFR. Bref, retour à notre illsutre sportive quinquagénaire.
La sportive dans un état quasi originel, peu de pièces ont en effet été changées malgré l’usure du temps, embarque un moteur 3.4l et s’est mise en évidence à l’occasion des 12 Heures de Sebring en 1956 en s’octroyant la deuxième place du podium derrière une Ferrari pilotée alors par un certain Caroll Shelby. L’enchère finale a atteint 4.4 millions de dollars.
A lire également. Jaguar montre la XFR à Goodwood, A vendre : prototype JaguarE2A et Deux Maserati en promenade à Goodwood.
Source : Motor Authority.
@Joest:Un article interessant ,fourni et qui semble complet ,voire très complet si je m’en réfère au peu de connaissances que j’ai sur l’histoire automobile en Chine.Une chose est sure ,le Pays a pioché à gauche et à droite ,mais…surtout à gauche pour mettre en place son industrie .En tout cas ,ce fut et ça reste encore un peu une industrie de « copiage » qui n’est jamais parvenue à des standards de qualité et de performance suffisants si l’on compare à ce qui ce fait chez les « occidentaux » et les japonais..
frederic.e….quand je te lis , j’ai l’impression de…me lire! LOL
dommage que l’orthographie du blog auto soit aussi approximative…et malheureusement cela ne s’arrange pas.mais les articles sont toujours intéressants.
passionnant. On voit les cadences infernales qu’ils ont tenues : 1 voiture, 18 voitures, et encore sans doute avec des moteurs empruntés, 3000 camions.
La planification économique par l’état est vraiment contre productive
Pour avoir une vue synthétique sur l’industrie automobile chinoise, il existe un document pdf sur china-roots.com
http://www.china-roots.com/
« une industrie de copiage qui nest [pas encore]jamais parvenue à des standards de qualité et de performance suffisants »
Petite anecdote concernant les camions : dans la société où je travaillais, nous avons eu droit à une requête d’un bureau chinois pour les aider à modifier leur moteur qui ne fonctionnaient plus très bien audelà de 4000m d’altitude. Sans suite.
Rigolez, rigolez ! Sûr, les Chinois copieurs ( comme Panhard a copié Daimler, Porsche a copié Tatra, etc. … ) ont envoyés des bonhommes dans l’espace. M. Pierrefite a écrit il y a quarante ans « Quand la Chine s’éveillera … ».
Aujourd’hui, pour des raisons dépassant les compétences techniques, la Chine produit presque la moitié des bagnoles du monde, et les vend !
Je le regrette beaucoup. Même que les décideurs de l’Ouest laissent faire.
Cause toujours !
Le niveau de hors-sujet et de stéréotypes dans ce commentaire est… OVER 9000!
Bonjour,
Savez vous que la Dong Feng existe toujours et peut se visiter dans un musée pas trop loin de Pekin.
Elle ressemble furieusement en effet à une Simca Ariane…
Bel article, merci, j’en redemande.
Philippe