Un dernier virage et le pilote va remporter l’épreuve. Certes, c’est juste une course de Fiat 600, mais pour lui, c’est énorme. Il laisse donc exploser sa joie. Il va malheureusement apprendre à ses dépends qu’il vaut mieux se laisser aller APRES avoir gagné et non pas avant…
(vidéo à la suite.)
L’incident n’est pas isolé. Lors de la course de F3000 de Monaco en 2003, le leader Bjorn Wirdheim s’arrête à quelques mètres de la ligne pour féliciter ses mécaniciens. Nicola Kiesa le dépasse et s’impose.
Au grand prix d’Autriche 1975, Vittorio Brambilla remporte la course sur March. Emporté par sa joie, il perd le contrôle de sa monoplace juste après la ligne et termine dans le mur. Mais au moins, il a gagné!
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