Apparu en 1995 au salon de Tokyo, le CR-V doit remplacer la Civic Shuttle sur le marché intérieur. Un test probant mené en Nouvelle Zélande et les réclamations de nos voisins hévètes, l’améne durant lété 1997 en Europe… Cest un succès commercial. Si le Rav4 mène le bal, force est de reconnaître que les solutions Honda ont été adoptés par Toyota : 5 portes, transmission à 4 roues « loisirs »La troisième génération du CR-V arrive. A armes égales cette fois ci.
Labsence de roue de secours extérieure, déjà au programme des générations précédentes au Japon, rompt la filiation 4×4. Tout en paraîssant plus compact, le CR-V s’allonge de 7 centimètres et s’élargit d’un et demi. « Top choppé » de 3 centimètres, ses lignes tendent vers le Crossover. Ce que confirme un profil en arrondi et un nez plus effilé. Au chapitre de léquipement, le frein à main, le sélecteur de vitesse retrouvent une place classique, et le CR-V oublie lascétisme qui prévalait jusqualors
Côté moteur, le 2 litres K20 à essence laisse place au R20 de même puissance, lancé récemment sur le Stream. Le brillant iCTDi est bien sur au programme.
Pour le reste patience. Si le CR-V est basé sur le RD-X Acura, rien na encore filtré sur sa transmissionA découvrir au Mondial de lautomobile