Hennessey Bronco Velociraptor, avec le V8 que Ford lui refuse

  • V8 Coyote de 750 ch

  • 24 exemplaires

Avec 190 000 réservations, le Ford Bronco semble bien déjà être un succès. Bien entendu, les préparateurs et équipementiers de tous poils vont se pencher sur son berceau. Du côté du Texas, Hennessey dégaine déjà l’artillerie lourde avec l’appellation Velociraptor traditionnellement réservée aux préparations les plus extrêmes sur base des tout-terrain frappés de l’ovale bleu.

Pour le Bronco déjà bien doté par la nature pour ses prestations tout terrain, Hennessey n’a pas jugé utile d’aller plus loin. Il en va autrement sous le capot. Puisque Ford se contente d’un V6, de 310 ch certes, c’est un V8 qui prend ici place sous le capot. Un bloc Coyote d’origine Ford, spécialement préparé pour développer 750 ch.

Notre avis, par leblogauto.com

Voilà encore un engin qui semble bien décalé dans le monde actuel. Avec son V8, sans doute encore plus que le Hummer EV… Vu l’accueil réservé au Bronco, Hennessey ne devrait pas avoir de mal à écouler les 24 exemplaires du Velociraptor, malgré les 225 000 dollars pièce.

(7 commentaires)

  1. superbe jouet, mais pas pour chez nous… Rares sont les pays ou on peut faire du Off-Road en Europe.

    Relativisons sur l’émission de CO2 histoire de lancer un débat inutile mais constructif sur la relativité:
    – Si celui qui en achète un roule en Tesla la semaine, il n’emet pas plus de CO2 pour ces déplacement que le quidam (l’américain) moyen
    – 24 unités seulement, même à 25l/100 en utilisation pépère, ce n’est pas ce qui va aggraver les émissions de CO2 à l’échelle mondiale, en tout cas pas plus qu’un grand prix de F1 et c’est surement beaucoup moins chiant, je m’endors en général juste après le WarmUp
    – c’est moins de CO2 émis par jour que pour un AR sur un WE à Prague
    – il n’y a pas d’utilisation de ressources minières qui génère de la pollution (Li, Co, terres rares)
    – il peut aussi fonctionner au bioéthanol, donc du CO2 cycle court et il sort même plus de KW dans ce cas
    – 10 km avec cet engin donne la banane alors que 500 km en TGV c’est chiant, et pourtant on a émis la même quantité de cO2
    – entre l’envoi de ce post et tous ceux qui vont le lire et peut être y répondre, on va gaspiller autant de CO2 qu’un tour de manège avec ce velociraptor

    bref, j’ai d’autres exemples sur la relativité, et j’ai du temps sur les 5 prochaines semaines pour en discuter…

    1. Faire 10km en voiture peut être une fin en soi : genre 3 tours de piste en Caterham, et on y prend plaisir

      Faire 10km en voiture sur route ouverte, au milieu des autres voitures, le plaisir se trouve où?

      Faire 500km en TGV est chiant. Mais le but de ce voyage serait il de pouvoir faire 500km en TGV? ou pour arriver à quelque part pour faire des choses pour le plaisir?

      Demain, un TGV direct de Paris à Barcelone, ou Séville, ou Sicile, à 350km/h, ça me conviendrait parfaitement.

      Faire 1000km en TGV peut être chiant (mais moins que 20h de route dans les embouteillages). Mais faire 1000km en TGV n’est pas une fin en soi…

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