La direction a fait part de son incompréhension face à ce déclenchement alors que le Japon souffre encore de la catastrophe du 11 mars.
Du coté de la CGT, on souligne que les salariés de Toyota Boshoku, filiale du groupe japonais installée dans la Somme, a obtenu une prime de 800 euros pour le lancement de la nouvelle Yaris après deux jours de grève. Toyota Onnaing veut la même chose.
« Le patron japonais du site, Makoto Sano, a adressé un message au personnel dans lequel il a indiqué que les négociations sur les salaires s’étaient conclues en décembre pour 2011 et qu’il n’était pas envisageable de les rouvrir trois mois après », a souligné un porte-parole à l’AFP.
3 100 salariés travaillent dans cette usine du Nord de la France et produit près de 800 Yaris par jour.
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