Cette vente de six sites comprend une usine moteur en Hongrie, un centre de développement en Italie, une usine d’assemblage en Pologne, une usine de transmission en Autriche et deux autres sites au Royaume-Uni et en Russie.
Opel n’a fait aucun commentaire au Frankfurter Allgemeine Zeitung, sans pour autant réfuter cette information.
Opel doit encore 2,5 milliards d’euros à General Motors. Le prêt – auparavant échelonné jusqu’au terme de l’année 2014 – a été prolongé de deux ans.
La marque allemande cède ainsi une partie de ses actifs. Elle ne possède plus que des usines en Allemagne, une usine à Saragosse, en Espagne, et une autre à Ellesmere Port, au Royaume-Uni.
Le Frankfurter Allgemeine Zeitung ajoute : « La transaction pourrait être une préparation d’un improbable, mais théoriquement possible, effondrement d’Opel. En cas d’insolvabilité, GM conserverait une partie des sites de production les plus importants en Europe. »
Car General Motors n’a pas choisi ces sites par hasard : l’usine de Gliwice en Pologne (photo) a été construite en 1998. A l’inverse, les sites de Rüsselsheim, de Bochum ou de Port d’Ellesmere sont bien plus anciens.
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Source : Frankfurter Allgemeine Zeitung