Certains organisateurs des différents groupes de gilets jaunes appellent à une manifestation ce samedi 24, à Paris. Ok dit le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez, mais pas à la Concorde.
« Nous n’interdirons pas cette manifestation. En revanche, nous ne pouvons pas nous interdire d’interdire un périmètre. Certains périmètres, par essence, ne peuvent accueillir des manifestations parce qu’ils n’offrent pas toutes les conditions de sécurité. On a entendu parler de la Concorde, ça n’est pas possible » a-t-il déclaré au micro de BMF-TV.
Régime de défaveur contre les « gilets jaunes » ? Non. Il ajoute : « On interdit systématiquement les manifestations déclarées sur la Concorde, on essaie toujours de trouver des lieux plus sécures (sic.) ».
Déclarer ou ne pas déclarer, là est la question
Mais, pour le moment, ce qui gêne beaucoup les autorités, c’est que ce mouvement est protéiforme. Il n’y a pas de « chefs », pas d’interlocuteurs officiels, tout au plus des figures de proue officieuses. Visiblement pour le moment, la manifestation de samedi à Paris n’a pas été déclarée en Préfecture. Et il y a urgence pour samedi. En effet, une déclaration de manifestation doit se faire 3 jours francs (72 heures) avant la manifestation.
En l’absence de déclaration de la manifestation, les périmètres autorisés pourraient d’autant plus se réduire et les forces de l’ordre mobilisées pour encadrer le tout, largement augmentées.
A date, environ 30 000 personnes se sont déclarées « participantes » à un événement sur le réseau social Facebook pour une manifestation sur Paris samedi. Mais, ils sont plus de 100 000 « intéressés ». En cas de manifestation non déclarée, et surtout non encadrée par les organisateur, de nombreux débordements sont à craindre.
avec AFP
macron son chauffage et son carburant c est lui qui se le paye ou avec nos impots bonne question
mr macron connissez vous l histoire de louuis 16 desoler il a mal finit ca cest balo