Au côté de la célèbre Nano, Tata présentait à Genève la nouvelle génération de lIndica, la citadine avec laquelle Tata est arrivé sur le marché de la voiture particulière. Un changement dans la continuité, pourrait-on dire pour paraphraser Pompidou, puisque les recettes sont les mêmes que la version précédente : économie et praticité.
Le design est également assez semblable à lancienne, que ce soit dans la ligne générale ou les détails (feux arrière verticaux notamment). Les lignes sont toutefois plus dynamiques, avec la lunette arrière inclinée et ladjonction de lignes de forces issues du concept de berline Eleganté, vu à Genève lan dernier. Question technique, la nouveauté vient de larrivée du diesel sous le capot de cette indienne. Capot indien mais cur italien, puisque ce 1,3l common rail 16 soupapes a été développé en collaboration avec FIAT. Il sera toutefois produit en Inde. Nous n’avons pour le moment pas d’informations quant à une éventuelle commercialisation en France.
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700 cheveaux sans changer le chassis ? Est-ce que ce dernier va supporter les 700 canassons ? Ensuite le moteur tri-rotor est quand même assez spécial, est-il vraiment possible d’en tirrer 700 cheveaux ?
Certains des plus grands préparateurs japonais ont déjà tirer 850 Ch de ce moteur mais ces transformations étaient réservées à la course
si on fait abstraction des encavures sur les cotés,c est carrément une corvette des années 80.
Pas mal du tout, joli coup crayon avec ces encavures originales, si vous avez une RX7 a recarrosser…une proposition sympa, parcontre les porte a faux au ras des paquerettes, faudrait plutôt que d’évocquer un gros bourrins, penser à une suspension réglable.