Genève 2006: Alfa Spider

Bien qu’issue de la Brera, son petit nom est Alfa Spider. Le poids de la tradition chez Alfa a souvent servi à baptiser les productions récentes de noms appartenant à l’histoire de la marque. Le Spider en fait partie et nul doute qu’en voyant le résultat de la décapitation du coupé Brera, les cogiteurs italiens ont tout de suite penser à lui donner les honneurs d’un baptême princier. Il est vrai qu’en réduisant l’empattement et en allongeant le capot, la ligne du coupé étété s’en trouve magnifié. Et c’est un euphémisme.

Là où le coupé Brera irrite l’esthète, adepte de l’équilibre parfait, le Spider ne prête pas son flanc musclé à la critique. Tout du moins à la mauvaise critique.

De face, de profil ou de 3/4, rien ne vient ternir l’impression première. L’intérieur bi-ton flatte sans choquer et même la capote en toile s’intègre correctement à la ligne.

2 niveaux de finition sont disponibles, ainsi que 3 moteurs essence dont le V6 3.2l de 260 ch accouplé soit à une boite méca à 6 rapports ou pour les fainéants du levier, une boite automatique. Le « Q4 » de la traction intégrale ne sera disponible que sur la V6 3.2l de 260 ch.

Les caractéristiques collent assez au nouveau roadster Opel Gt à la différence près que le Spider devrait dépasser les 40.000 euros contre 29.900 pour l’americano-allemande.

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