La Lexus CT 200h fait une carrière discrète, à tel point que l’on aurait pu craindre pour son avenir. Celui semble pourtant assuré.
Lexus a dévoilé un nouveau crossover de petit gabarit à l’occasion de la dernière édition du salon de Genève, l’UX. Le constructeur japonais s’apprête aussi une nouvelle génération de ES dans le cadre du salon de Pékin en cette fin de mois d’avril. Devant la croissance des ventes de SUV, on aurait pu craindre le non renouvellement de la compacte CT. Tel ne devrait pas être le cas.
Les Anglais de Auto Express annoncent en effet une nouvelle génération de CT pour l’année 2020. Lexus aurait pour ambition avec cette future compacte de concurrencer la Tesla Model 3. Toutefois, si une version entièrement électrique de la japonaise serait ainsi au programme, Lexus n’abandonnerait pas pour autant les motorisations hybrides.
Un style plus incisif
Conçue sur la base de la plateforme TNGA, la future CT pourrait présenter un style plus dynamique que l’actuelle, les dernières productions de la marque ayant ouvert la voie. D’autant que la Lexus CT trouvera sur son chemin une concurrence plus affûtée que jamais, Mercedes, avec ses dernières Classe A, ayant par exemple largement bouleversé le segment des compactes premium.
Source : Auto Express
Photo : Lexus
Avec la CT, Lexus a voulu copier la philosophie Audi. Vendre sous un nom premium, une voiture dont une grande partie vient d’une marque généraliste (motorisation, pièces détachées…).
L’acheteur de Lexus attend mieux qu’une Toyota
Pour qu’une auto se vende, encore faut-il qu’elle soit « belle ». Or, s’il existe beaucoup dé définition de la beauté, cette CT était tout sauf belle.
En effet la notion de beauté est très subjective. Ton avis est tout sauf d’être unanime.
Je ne pense pas que les tout électrique ont un avenir. La pile à hydrogène est largement plus prometteuse.
Toyota est en train de nous refaire le coup du HSD avec l’hydrogène. Ajourd’hui, les concurrents lui rigolent au nez et dans 5 – 10 ans, Toy’ va toucher le pactole.
Et puis aussi, il faut garder à l’esprit que les vendeurs d’auto … sont d’abord des vendeurs et que leur métier est de vendre quitte à créer un besoin qui n’existe pas.
Pile à combustible = électrique. C’est juste le vecteur de l’énergie qui change (H2+PAC contre batterie)
la différence est que le HSD roule à l’essence ordinaire dont les pompes sont partout sur Terre, très bien réparties (sauf au fin fond de l’Afrique ou Outback australien…). Ce qui n’est pas le cas du réseau de distribution d’hydrogène (n’en parlons même pas de sa fabrication)
pas de réseau de distribution de carburant = pas de vente
ce qui est difficile pour une VE, c’est de trouver un endroit où on peut recharger la voiture en 30 minutes et avoir de nouveau 500km d’autonomie. Mais on peut trouver une simple prise élect partout, même chez mémé au fin fond de la Creuse. Il faudra attendre longtemps avant de pouvoir recharger 100kWh avec une simple prise 16A, mais ça marche. Ce qui n’est pas le cas de l’hydrogène: c’est pire « qu’avec un fil à la patte »
j’allais le dire, Thibaut