Pour ce deuxième coup de peinture, Toyota ne s’est pas contenté d’un dépoussiérage et mené une opération en profondeur à commencer par la face avant qui met au placard le faciès controversé. La massive calandre à cinq barres verticales est remplacée par un nouveau dessin plus moderne, moins vertical aux lignes plus marquées. Les blocs optiques, désormais à LED, sont amincis et mordent allègrement dans les nouvelles ailes conférant au Toyota un regard plus viril et légèrement moins clivant.
Les modifications extérieures s’accompagnent de changements intérieurs également significatifs avec une planche de bord redessinée qui inclut une nouvelle instrumentation et une nouvelle console centrale. Celle-ci reçoit désormais un grand écran de 8 pouces. Le conducteur gagne un bloc d’instrumentation doté d’un écran d’information d’une diagonale de 4,2 pouces. Plus moderne, l’habitacle gagne un peu de cachet au passage.
Toujours disponible en 3 et 5 portes, le Land Cruiser perd avec ce restylage la motorisation essence sur le marché français. Le tout-terrain japonais est désormais propulsé par le 4 cylindres 2,8 litres diesel de 177 ch accouplé à une boîte manuelle ou automatique à six rapports sur nos marchés tandis que les pays de l’Europe de l’Est ont aussi droit à un 2,7 litres essence de 161 ch accouplé à une boîte manuelle à cinq rapports ou automatique à six rapports et le gargantuesque 4 litres de 249 ch exclusivement associé à une boîte automatique à six rapports.
Source : Toyota
Source photo : Toyota