Quand on a découvert l’Aspark Owl, hypercar électrique nippone, sur le papier, on demandait à en savoir plus. Et bien voilà.
Carbone à gogo, roues en magnésium, aérodynamique typée course (dont une énorme étagère à l’arrière). N’en jetez plus la coupe est pleine. Ah si, cette hypercar est électrique. Cette voiture vient du Japon et niveau design, elle a de quoi faire concurrence aux Mitsuoka Orochi dans la bizarrerie.
Elle semble tout droit échappée de la ligne droite des Hunaudières. Mais, à l’époque du GT1. Elle n’aurait pas dénoté au côté des Porsche GT1 et Mercedes CLK-GTR/CLR. Très longue (4,83 m) c’est une stricte 2 places.
99 cm de haut
Mais, elle est aussi très large (1,94m). Pour y rentrer, il faudra sacrément vous baisser. En effet, elle ne fait que 99 cm de haut ! Les occupants s’installent dans un intérieur très clair et très technologique évidemment. On notera que la rétrovision est assurée par des caméras implantées sur les ailes.
Ce qui décoiffe (et qu’on ne demande qu’à vérifier), ce sont les performances. Aspark promet moins de 2 secondes pour le 0 à 100 km/h. Il faut dire que la voiture est très légère. 850 kg pour une puissance « de 1000 ch » donnée par 2 moteurs. Evidemment, c’est une 4 roues motrices avec gestion électronique du couple sur chaque roue.
Batterie et condensateurs
Sous la carrosserie de carbone (50 kg seulement), il y a un châssis tubulaire. Pour ne pas alourdir l’ensemble, Aspark mélange batterie et condensateurs. L’autonomie n’est pas énorme (environ 150 km), mais la puissance est rendue possible par les condos. D’autres détails devraient être dévoilés dans les prochaines semaines.
Pour ceux qui sont intéressés par le genèse de la Aspark Owl (dont des essais sans carrosserie NDLA) c’est par ici.
Illustration : le blog auto