Ils étaient tous là pour la présentation de la petite dernière: Walter De Silva, le chef du style, Luc Donckerwolke, l’auteur (tous les 2 sur la photo plus bas), le PDG de la marque au taureau et même… l’ancien grand patron, Ferdinand Piëch himself! La Gallardo Spider s’est fait désirer, cachée qu’elle était sous sa bâche noire, entre une Murcielago et une Gallardo berlinette, toute deux arborant un splendide blanc nâcré. Lors de la conférence de presse, encadrée par 4 splendides hôtesses d’une sobre élégance (pas comme chez Skoda, hein M. Garcia), le voile noir s’en fut, et elle parut, blanche, rutilante, agressive, léchée, un peu trop peut-être compte-tenu de folies passées de Lamborgini.
Techniquement, elle reprend le faleux V10 de 520CV et la transmission intégrale, chère à M.Piëch. De par sa configuration à moteur central, elle ne peut recevoir de toit dur escamotable, elle est donc dotée d’une capote, tout en gardant une lunette en verre, escamotable indépendemment. En option, une caméra de recul est disponible.
Ruez-vous chez votre concessionnaire Lamborghini le plus proches, la production 2006 n’est pas encore totalement vendue! Ou alors, rabattez-vous sur une Ferrari 430 Spider, déjà en circulation, donc moins exclusive.