Ces trois employés avaient été licenciés pour avoir bloqué des chaînes de montage.
Mais selon le tribunal italien, ces licenciements sont anti-syndicaux. Les trois ouvriers – dont deux délégués syndicaux – doivent être immédiatement réintégrés.
Fiat, qui conteste donc ce jugement, a ouvert des négociations avec les syndicats pour signer de nouveaux accords de travail en Italie.
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