Dans les deux usines, Marchionne a réussi à faire oublier les anciens contrats de travail pour de nouvelles versions favorisant la flexibilité. Désormais, il parle d’égalité… Egalité face à son contrat.
« Il n’y a pas d’autre choix possible » affirme-t-il dans La Repubblica. « Nous ne pouvons pas vivre dans deux mondes. J’espère que, lorsque les nouveaux contrats de travail seront appliqués, les salariés ne voudront pas retourner dans le passé… »
Il faudra certainement attendre une dizaine d’années pour savoir si les décisions de Marchionne auront permis à Fiat de s’inscrire dans la durée dans le peloton de tête des groupes automobiles mondiaux.
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