Essai Volvo V60 D3 : changement d’orientation (1/3)

Le break V60 découle étroitement de la berline S60 et en reprend donc intégralement la partie avant, très réussie avec son nez allongé et ses doubles phares, et lui greffe une partie arrière complètement inédite, inspirée de la XC60. Pourtant, preuve de la philosophie nouvelle de ce break au sein de la marque suédoise, le V60 n’est pas plus long que la berline de laquelle il découle : 4,628 mètres de long pour 1,865 de large. Des dimensions plus restreintes qui viennent chasser sans vergogne sur les terres des BMW Série 3 Touring, Mercedes Classe C et Audi A4 break.

Mais que ceux qui aiment jouer les déménageurs le week-end se rassurent, il leur reste toujours le V70 !

D’un point de vue design, le V60 est assurément l’un des plus dynamiques et réussis de son segment. Une plastique avantageuse associée à des équipements technologiques de pointe telles que le capteur d’angle mort, le système de détection de changement de bande involontaire, la caméra de recul ou encore, l’innovant système de détection des piétons, inédit dans le segment (mais mieux vaut quand même rester vigilant…).

Des technologies qui ont le bon goût de ne pas être hors de prix. Notre modèle d’essai, en finition Summum doté du Advance Safety Pack (détection des piétons et du changement de files) à 2.000* euros, du Xénium Pack (sièges chauffants, caméra de recul, GPS etc.) à 2.800* euros et de la peinture cuivrée «Vibrant Copper Metallic» à 800 euros était facturé 44.500* euros. Un tarif certes coquet, mais bien moins élevé que chez les marques Premium précitées.

*Prix en Belgique

Lire la suite :

Essai Volvo V60 D3 : design et tradition (2/3)

Essai Volvo V60 D3 : break à tempérament (3/3)

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