Essai Volvo S80 D5 – Partie 1 – Découverte

Le long capot avant avec son porte-à-faux imposant est adouci par la rondeur générale de la face avant, qui contraste fortement avec l’arrière tronqué, qui participe au dynamisme d’ensemble. Grâce aux lignes moins rigides des phares, la S80 possède un regard plus incisif. Les divers accessoires sont plutôt bien intégrés, en particulier les capteurs d’aide au stationnement, intégrés dans les entrées d’air et donc peu visibles.

A l’arrière, le dessin s’est assoupli avec une ligne de pavillon plus fuyante qui se poursuit de façon ininterrompue jusqu’à l’arrière du véhicule. Marque de fabrique des Volvo, l’épaulement de caisse reste bien présent, mais plus souple. De nuit, les feux arrière viennent souligner ce pli de carrosserie, apportant ainsi une signature lumineuse au véhicule. Ici aussi, les capteurs sont discrètement intégrés à la jupe arrière. Pas de sportivité exacerbée sur cette S80 D5, dépourvue des doubles échappements chromés qui fleurissent dans le segment

Au final, la S80 paraît presque plus compacte que sa devancière alors qu’elle pousse de 3 cm pour atteindre 4m85. Une longueur raisonnable dans le segment face à une Série 5 qui mesure 4m84 et une A6 de 4m91. Son empattement de 2m835 s’allonge de 4.5 cm, ce qui combiné à l’implantation transversal des mécaniques devrait lui permettre de marquer des points en habitabilité.

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