Essai Volvo C30 : Tout le charme de la Suède (1/3)

C’est à Francfort que la Volvo C30 nous a présenté son nouveau visage. Une face avant totalement revue, annonçant la nouvelle S60 dévoilée, elle, à Genève. Capot plus plongeant, calandre modernisée, la suédoise se veut plus dynamique.

Les modifications concernent donc principalement la partie avant. A l’arrière, la C30 conserve sa vitre de hayon si particulière, rappelant la 480 voire la P1800ES. Le bouclier est toutefois nouveau, de même que le lettrage de l’inscription Volvo, correspondant à la nouvelle identité visuelle de la marque.

A l’intérieur, les nouveautés sont subtiles voire subliminales. On regrette notamment que le volant reste d’ancienne génération, alors que la S80 en a inauguré un plus moderne et moins massif il y a peu… Mais ce qui reste la spécificité de la C30 est l’éventail des possibilités de personnalisation, assez rare dans la catégorie. Teinte extérieure, couleur des bas de caisse et des jantes. Moquette disponible en ocre, inédite sellerie rouge canneberge…

Sans compter le « pack cartographie », qui décore la console centrale flottante d’un revêtement en aluminium gravé à l’image d’une mappemonde à l’ancienne. Console centrale bien évidemment également disponible dans un très design bois nordique. Bref, la C30 cultive sa singularité et son identité scandinave grâce à de petits détails (qui font vite grimper la facture) qui font toute la différence par rapport aux plus austères Audi A3 ou BMW série 1. Au point qu’elle vient chasser sur les terres de la MINI, tout aussi personnalisable mais moins habitable et, surtout, pas meilleur marché.

Sous le capot, peu de mouvements, si ce n’est l’apparition de deux nouvelles versions. Le 1,6D DRIVe gagne un Stop & Start (une version que nous essaierons dans un second volet) alors que le 2,0l 143ch peut désormais carburer à l’E85. On notera également que toutes les motorisations diesel sont désormais dotées d’un filtre à particules. Pour ces essais, nous nous sommes tout d’abord penchés sur les modèles à cinq cylindres, marque de fabrique du constructeur suédois. Nous avons ainsi eu en main un modèle équipé du D5 (180ch) accouplé à la boîte automatique à cinq rapports Geartronic et un autre essence, avec le T5 de 230ch, doté d’une boîte manuelle.

Galerie Essai Volvo C30 D5

Galerie Essai Volvo C30 T5

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