Essai Volkswagen Jetta 2.0 TDI 140 DSG : d’inspiration Golf (2/3)

Ainsi, les habitués de la marque allemande ne seront pas dépaysés en montant à bord de la Jetta. Les traits sont connus, les cadrans et commandes sont les classiques du Groupe Volkswagen et l’ergonomie est toujours impeccable. La console centrale est toutefois un peu plus gonflée que celle de la Golf, mais c’est bien là l’une des seules différences que l’on peut remarquer entre les deux modèles. Bien entendu, les amateurs d’habitacles colorés passeront leur chemin.

Si l’assemblage des matériaux ne souffre toujours pas la critique, leur qualité semble toutefois en retrait par rapport à ce à quoi le groupe nous a habitués. Est-ce l’un des signes de la vocation mondiale de la voiture, surtout destinée à des contrées où les acheteurs sont moins tatillons à ce sujet que nous, européens ? Peut-être, toujours est-il que les plastiques durs qui habillent les portières de notre modèle d’essai – pourtant en finition haut de gamme – sont plutôt décevants.

Pour ce qui est de l’espace en revanche, la Jetta sait recevoir. Son habitacle est prévu pour cinq adultes, dont les trois assis sur la banquette arrière profiteront d’un espace pour les jambes accru grâce à l’allongement de l’empattement. Seul l’occupant de la place centrale pourra émettre quelques plaintes dues à l’inconfort généré par l’imposant tunnel de transmission.

La malle arrière cache quant à elle un coffre au volume conséquent : 510 litres derrière la banquette arrière, qu’il est en plus possible de rabattre, chose plutôt rare sur une «sedan».

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