Essai Toyota Land Cruiser : l’autre Land (1/4)

Extérieurement, ce Land Cruiser ne surprendra guère. Les traits sont bien proches de celui de son prédécesseur, mettant en avant la robustesse avant l’apparence. Les lignes massives et la silhouette haute annoncent la couleur et le tempérament de l’engin.

Il se modernise toutefois dans le détail, afin de justifier un tarif (entre 36 900€ et 59 500€ selon les versions) à la hauteur de ses capacités tout-terrain. Comme auparavant, deux carrosseries sont proposées. Le classique break cinq portes ou la trois portes, à même de satisfaire les baroudeurs grâce à son empattement plus court, réduisant d’autant l’angle ventral.

Techniquement, le Land Cruiser reste très classique, ne cédant toujours pas aux sirènes du monocoque. Le châssis est toujours à échelle, favorisant le crapahutage. Tous les modèles vendus en France carburent au diesel, avec un unique quatre-cylindres de 3,0l au catalogue. Le choix reste tout de même entre une boîte manuelle à six rapports ou automatique à cinq rapports.

Lire également :

Essai Toyota Land Cruiser, entre deux chaises

Essai Toyota Land Cruiser, à la croisée des chemins

Essai Toyota land Cruiser, chèvre corse

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *