Essai Subaru Impreza Boxer Diesel: cold (2/3)

Essence ou diesel, l’Impreza possède une ligne de caractère. Hélas, l’intérieur ne suit pas.

L’ambiance est glaciale. Noir, c’est noir. Les compteurs à fonds bleus n’y font rien.

C’est très austère. De plus, comme souvent chez les Japonais, les matériaux sont un ton en dessous de la moyenne. Comme le plastique argenté censé jouer les faux « inserts d’aluminium » ou le tissu des sièges qui n’inspire guère confiance sur le long terme.

Du côté des qualités, il y a le « volant pour gauchers » (avec les commandes du régulateur à droite et la radio à gauche.)

Les baquets (à commandes manuelles) offrent un bon maintien.

Elle peut volontiers accueillir 4 vrais adultes (+1 place d’appoint), il y a de nombreux rangements (à commencer par les 2 porte-gobelets entre les sièges avants), la banquette est rabattable 1/3-2/3 et vous disposez d’un vrai fond plat. Donc, c’est une vraie familiale.

S’il fallait résumer l’intérieur, ça serait: « Si peu pour 29 900€? » La 2,0l D « tout court » est à 26 500€. C’est du Zola: rétroviseurs électriques, sièges chauffants, volant réglable, Radio/CD et c’est tout. En terme d’équipement intérieur, la « Sport » à l’essai ni ajoute que le régulateur de vitesse et le démarrage sans clef.

Pour la « Club » mieux équipée (avec notamment un GPS), il faut débourser 34 300€… Soit 2 800€ de plus qu’une Legacy Boxer Diesel Club!

Le détail qui tue, c’est la roue de secours remplacée par… Un gonfleur avec une bombonne de produit isolant!

196504196508196511196514196517196520196523196526196529196532

A lire également:

Essai Subaru Impreza Boxer Diesel: wild thing (1/3)

Essai Subaru Impreza Boxer Diesel: riders on the storm (3/3)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *